La folie ultra-féminsite
Page mise à jour le 27/09/2014

Préalable

Il y a aujourd'hui un problème avec le féminisme. En deux mots : la lutte pour l'égalité des droits était un combat juste et nécessaire, la lutte pour l'accès aux moyens de contraceptions et pour le droit à l'avortement était un combat juste et nécessaire. Alors que veulent aujourd'hui les féministes ? Déjà elles prétendent que cette égalité ne serait pas atteinte : "Cette égalité restera cependant théorique tant que persisteront les discriminations, les stéréotypes limitant les possibilités des femmes, les violences de genre, la culture du viol" nous sortent-elles.

Soyons sérieux si le féminisme radical perdure c'est pour au moins quatre raisons :

La première est purement idéologique, certaines femmes veulent sans le dire (mais certaines n'hésitent pas à le dire) dépasser le simple stade de l'égalité pour atteindre celui de la domination (les propos cités plus loin en sont la preuve vivante et éclatante).

La deuxième est viscérale : il s'agit tout simplement d'Androphobie, une aversion ou une haine envers les hommes. Etre androphobe de nos jours n'est pas si mal vu que ça, c'est même parait-il terriblement tendance !  Allez y comprendre quelque chose !

La troisième est le syndrome du conservatisme d'organisation : Quand une organisation a obtenu satisfaction, elle perd sa raison d'être, certains ne l'admettent jamais et pour cela pratiquent le déni des acquis : on constate le phénomène par exemple dans des grèves où des ouvriers après avoir obtenus satisfaction refusent de reprendre le travail, dans des associations qui se sont constitués dans un but précis (par exemple la sauvegarde d'un jardin public) et qui une fois la revendication obtenue se cherchent un autre but, c'est la culture du toujours plus ! (1)

La quatrième est bien plus terre à terre, nous savions que la politique était une façon comme une autre de faire carrière et certains ne s'embarrassent pas trop des étiquettes, s'engagent à gauche comme ils se seraient engagés à droite et vice versa. Se déclarer féministe aujourd'hui est aussi une façon de faire carrière, alors évidemment il ne faut pas se contenter d'affirmer être féministe, il faut aussi faire de l'activisme, trouver des sujets, des combats, ne vous inquiétez pas, elles en trouvent.

Enfin, il me faut préciser que j'en ai plus que marre d'entendre que ceux qui critiquent le féminisme radical seraient antiféministes et complice du machisme. J'en ai marre d'entendre que celles ou ceux qui critiquent le féminisme radical seraient des conservatrices ou des réactionnaires.(1)

 

http://lemomo2.pagesperso-orange.fr/Faudrait_savoir.jpg

Quelques citations de ces dames :

Si la vie doit survivre sur cette planète, il faut qu’il y ait décontamination de la terre. Je pense que cela sera accompagné d’un processus évolutionnaire qui résultera en une réduction radicale de la population mâle. Mary Daly, (1928-2010), ancien professeur à Boston College, 2001

 

Tous les hommes sont des violeurs et c’est tout ce qu’ils sont. Marilyn French, (1929-2009), essayiste et conseillère lors de la campagne présidentielle d' Al Gore in "The War Against Women" 

Toutes les femmes apprennent durant leur enfance qu’elles ne sont que la proie sexuelle de l’homme. Marilyn French

Toute violence masculine envers les femmes fait partie d’une campagne concertée. Marilyn French

 

La proportion des hommes doit être réduite et maintenue à approximativement 10 % de la race humaine. Sally Miller Gearhart, L’avenir – s’il y en a un – est féminin (né en 1931)

 

Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. Valerie Solanas (1936-1988)

Comme, au mieux, la vie dans notre société est d’un ennui profond et aucun de ses aspects ne sont pertinents aux femmes, il ne reste qu’aux femmes civiques, responsables et en quête de frissons de renverser le gouvernement, d'éliminer le système monétaire, d’introduire l’automatisation complète et de détruire les hommes. Valerie Solanas

Dire de l'homme que c'est un animal est une flatterie. L'homme n'est qu'une machine, un godemichet ambulant. Valerie Solanas
Le mâle est un accident biologique ; le gène Y (mâle) n'est qu'un gène X (femelle) incomplet, une série incomplète de chromosomes. En d'autres termes, l'homme est une femme manquée, une fausse couche ambulante, un avorton congénital. Être homme c'est avoir quelque chose en moins, c'est avoir une sensibilité limitée. La virilité est une déficience organique, et les hommes sont des êtres affectivement infirmes. Valerie Solanas

Les hommes irrationnels, les malades, ceux qui essaient de nier leur sous-humanité, en voyant les SCUM arriver sur eux comme une lame de fond, hurleront de terreur ... Valerie Solanas fondatrice de SCUM (Society for Cutting Up Men, (Société pour mettre les hommes en pièces)

 

Je crois que les femmes ont la capacité de compréhension et de compassion qu’un homme ne possède pas structurellement; il ne les a pas parce qu’il en est incapable. Barbara Jordan; ancienne membre du Congrès américain et militante des droits civiques, (1936-1996)

 

Je crois que la haine de l'homme est un acte politique viable et honorable. Robin Morgan, éditrice de Ms Magazine (née en 1941)

Je déclare qu’il y a viol chaque fois qu’il y a des rapports sexuels non initiés par la femme, venant de sa propre affection et désir réels. Robin Morgan (The Demon Lover, 1989)

J'estime que la haine envers les hommes est un acte politique honorable et valable, en cela que les opprimées ont droit à la haine de classe contre la classe qui les opprime. Robin Morgan, éditrice du MS Magazine

 

Je veux voir un homme battu en bouillie sanglante avec un talon haut dans la bouche, comme une pomme dans le groin d’un cochon. Andrea Dworkin (1946-2005)

Le coït demeure un moyen ou le moyen d’inférioriser physiologiquement une femme. Andrea Dworkin

Le mariage est une institution développée à partir de la pratique du viol. Andrea Dworkin

Les relations sexuelles entre un homme et une femme ne sont politiquement acceptables que lorsque le pénis de l'homme est mou. Andrea Dworkin

Question : On pense que vous êtes hostiles aux hommes. Réponse : Je le suis. Andrea Dworkin

Sous le régime patriarcal, le fils de chaque femme constitue son traître potentiel et aussi le violeur inévitable ou l’exploitant d’une autre femme. Andrea Dworkin

Un philosophe est-il encore un philosophe quand il bande ? Andrea Dworkin

 

Tout rapport sexuel, même s’il est consensuel, entre un couple marié, est un acte de violence perpétré contre la femme. Catherine Mac Kinnon (née en 1946)

 

Quand une femme jouit avec un homme, elle ne fait que collaborer au régime patriarcal, rendant érotique sa propre oppression. Sheila Jeffreys, australienne, née en 1948

 

La galanterie est une violence insidieuse faite aux femmes et destinée à leur rappeler sans cesse leur prétendue situation d'infériorité face à l'homme érigé en inamovible protecteur. anonyme

La galanterie n’est qu’une main de fer cachée dans un gant de velours : le versant soft de la domination masculine. Marie Sarlet, psychologue et auteure belge

Ne cherchez pas d'excuses

On lit parfois à propos de ces citations des commentaires particulièrement étonnants. "ben oui c'est exagéré, mais il faut les comprendre, nous sortons, nous les femmes de 4000 ans de domination machistes, alors... Argument inacceptable, c'est avec des considérations similaires que certains ont excusé Robespierre (et l'excusent encore) ! Ces citations ne sont pas des propos provenant de dérapages lors d'interview plus ou moins mal retransmises mais bien d'ouvrages et d'articles dûment pensés et relus.

Manipulation des chiffres.(2)

La manipulation des chiffres, les statistiques sans sources et les affirmations péremptoires semblent être l'apanage des organisations féministes : Un exemple parmi d'autre mais il est significatif ! Celui des femmes battues (ou plutôt des violences conjugales)

Au Québec, pendant près de 20 ans, un chiffre a circulé y compris sur les documents de la justice, selon quoi 300. 000 femmes étaient battues chaque année. Ce chiffre a fondé une politique répressive d'exception contre les hommes et fournit des milliards de dollars pour les associations féministes. Or ce chiffre était bidon, tout simplement. Car suite à une demande d'information, le ministère a dû reconnaître qu'il n'était fondé sur rien. Voici un extrait de la lettre du ministre, et le lien vers le dossier complet:

"2004: 2 décembre: Suite à un accès à l'information de Jean-Claude Boucher, le responsable de l'Accès à l'information du ministère de la justice admet que les brochures officiels du Ministère intitulées " "Le substitut du procureur général et la violence conjugale" dans laquelle le chiffre magique de Linda MaLeod des 300,000 femmes battues par année au Québec est clairement mentionné et utilisé, ne sont basé sur aucune source connue, et n'ont donc aucune valeur. Le responsable annonce également le retrait de la dite brochure des présentoirs du Ministère." http://www.lapresrupture.qc.ca/300000.html

En Belgique, on nous sort le même refrain (avec des rapports d'Amnesty international)

"Une situation qui touche une femme sur cinq" :http://www.amnestyinternational.be/doc/article5330.html

"Il est vraiment urgent de disposer de données plus fines concernant ce phénomène qui touche, selon le dernier sondage que nous avons réalisé, près d’un ménage sur trois."» http://www.amnestyinternational.be/doc/article7239.html

"Près de 3 Belges francophones sur 10 (29%, soit 26% des hommes interrogés et 32% des femmes sondées) connaissent dans leur entourage un ou plusieurs couples confrontés à de la violence conjugale jugée "inacceptable" http://www.amnestyinternational.be/doc/article5028.html

"D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, trois femmes sur cinq sont victimes de violences à un moment donné de leur vie" http://www.amnestyinternational.be/doc/article5954.html

Mais aucune étude n'est fournie !

Le Conseil de l'Europe s'y est mis aussi en affirmant que 20% à 30% des femmes étaient maltraitées ! Sans preuves, sans études !

Or tous ces abus de chiffres ont été largement démontés, (notamment par Elisabeth Badinter (une vraie féministe, elle, qui sait remettre les choses à leur place, à ce point que les féministes radicales refusent désormais de lui adresser la parole et de débattre avec elle)  Elle explique que la violence physique touchait en 2005, 2,3% des femmes et 1,7% des hommes. Une étude suisse réalisée à la même époque donne des résultats similaires  ::

"8% des femmes et 7 % des hommes reconnaissent bousculer, pousser ou secouer leur partenaire sous l’effet de la colère. 1,6 % des femmes comme des hommes disent frapper leur partenaire, que ce soit à coups de pied ou de poing ; 0,6 % des femmes et 0,7 % des hommes admettent régulièrement rouer de coups leur partenaire, le maltraiter avec des objets voire l’étrangler. En ce qui concerne la violence psychique, 9 % des femmes contre 5 % des hommes déclarent menacer leur partenaire ; 11 % des femmes contre 5 % des hommes avouent rabaisser volontairement leur partenaire en le dénigrant, en le vexant ou en trahissant sa confiance ; 1 % des femmes et 2 % des hommes endommagent ou détruisent, dans un conflit, des objets auxquels le partenaire tient particulièrement.

C'est toujours trop, mais on est loin des chiffres ahurissant qu'on veut nous faire gober… Mais qu'importe tous les ans le 8 mars(3) on nous saoulera d'éditoriaux alarmistes et de statistiques sorties de nulle part

Prostitution

Le combat des ultra-féministes visant à culpabiliser et à pénaliser les clients des prostituées procède de plusieurs amalgames :

Confusion volontaire entre la situation d'une fille entre les mains d'un réseaux mafieux qui l'oblige à se prostituer (à l'aide de chantage, violence physique ou morale) et celle de la fille qui se prostitue par choix personnel. L'assimilation se fait par un abus de langage, la prostituée consentante ne le serait pas (consentante) car contrainte (par l'argent). Elles font semblant d'oublier qu'à ce compte-là tout le salariat n'est aussi qu'une contrainte... Mais attention la prostituée volontaire est pour ces dames une victime qui s'ignore et même si elle assume parfaitement sa situation, c'est diront-elles qu'elle cache une grande souffrance(4). Les ultraféministes savent mieux que les intéressées ce qui ce passe dans la tête des prostituées.

Confusion (entretenue allégrement par la loi française entre le proxénétisme violent et contraignant et ce qui n'est que de la logistique (un bailleur, un videur, un créateur de site web...)

Déni de la parole des prostituées volontaires (qui participeraient à la perpétuation du machisme ambiant, elles sont donc considérées comme irresponsables et leur parole comme n'ayant aucune valeur) C'est grave ! C'est anti démocratique mais tout le, monde semble s'en foutre.

Omission volontaire de la réalité de la prostitution masculine.

Affirmation péremptoire ne reposant sur rien du tout selon laquelle il y aurait un rapport de cause à effet entre le fait de s'être fait tripoter dans son enfance par un parent (ou un voisin, un ami de la famille...) et celui de pratiquer un métier du sexe.(5)

Déni ou contestation fallacieuse du principe du consentement mutuel. En effet tout ce qui se passe entre deux individus majeurs et consentant ne devrait ne regarder qu'eux et personne d'autres. Et bien, non ces dames ne sont pas d'accord.

La prostitution serait "un viol légal" (voir ci-dessous)

La théorie du viol légal

La définition d'un viol devrait rester simple. Elle ne veut pas, je le fais quand même (en utilisant la force physique, la menace, le chantage, voire le marché de dupes). Le viol est par essence la négation du principe du consentement mutuel. Le viol implique un acte sexuel ou une tentative explicite que des circonstances peuvent avoir interrompu.

Il n'y a aucune raison d'élargir cette définition. Un attouchement ne saurait être un viol s'il ne reste qu'à ce stade. Ce n'est pas bien, on ne fait pas les choses sans les demander, j'en suis bien d'accord, mais il importe de remettre les choses à leurs places.

Dire que le prostitution est un viol légal n'est rien d'autre qu'une fantaisie sémantique. Ça ne veut rien dire du tout et ça n'a aucun intérêt sinon de brouiller les pistes et de créer la confusion entre prostitution forcée (où à la limite le terme pourrait se comprendre) et la prostitution consentante... (mais là, nos ultra féministes vont nous ressortir le refrain de la "grande souffrance")

Amusant aussi, certaines nous disent que les relations sexuelles au sein d'un couple marié sont également du viol légal. Sans aller jusqu'à partager leur analyse, il est exact que jusqu'à une époque pas si éloignée les mariages étaient arrangés surtout dans la bourgeoisie et l'aristocratie, on ne se mariait pas par amour, mais pour avoir une descendance. Pour le plaisir les hommes avaient les bordels et les amours ancillaires, les femmes étaient (plus ou moins autorisées) à prendre amant (après le mariage). On n'en est plus vraiment là.

Cela dit le mariage est une institution dépassée, dont les seules avantages sont d'ordre fiscaux et patrimoniaux. En France un tiers des mariages se termine en divorce, (en agglomération, c'est carrément la moitié). Ce n'est pas le lieu d'en dire les raisons (voir cette page), mais le sachant, et ayant lu ce qui précède, on ne peut que s'étonner que les féministes aient participé au lobbying ayant abouti à l'institution du "mariage pour tous". Un couple homosexuel serait-il plus stable et moins enclin qu'un couple hétéro à voir surgir des rapports de domination ? On sait déjà que la réponse est "non" pour la première question quand à la seconde, je préfère en rire.(7)

Parité

Indéniablement, il a existé des cas où une femme extrêmement compétente ne pouvait obtenir un poste tout simplement parce qu'elle était une femme. Voilà qui est déplorable, mais ceux (ou plutôt celles) qui voulant lutter contre cette injustice ont inventé la parité ont créé une autre injustice : Prenons un exemple dans une entreprise, un poste de responsable est vacant, le plus compétent pour y postuler est un homme. Et bien, au nom de la parité on va lui préférer une femme bien moins compétente qui va s'empresser de s'entourer de collaborateurs (collaboratrices) plus ou moins compétents. Qu'on m'explique ce que l'entreprise y gagne ? Vous me direz : on voyait (on voit encore ?) des femmes accéder à des responsabilités suite à des promotions canapés, le résultat n'était pas mieux (quoi que parfois...), mais au moins n'était-il pas institutionnalisé.

La parité dans son principe est une aberration, comme disait un humoriste pourquoi n'instaure-t-on pas la partite dans les maisons de retraites ou dans les équipes de rugby à XV ?

L'image de la femme

Un mot qui revient souvent dans les textes féministe est "dégradant". La prostitution, la pornographie dégraderaient l'image de la femme, la publicité (certaines publicités) également. Pas une seule fois il ne vient à l'esprit de ces dames qu'on peut développer d'autres valeurs que les leurs, que le terme de dégradant n'a rien d'objectif, que ce qu'elles qualifient de dégradant ne l'est que dans leur schémas de pensées, et que leurs schémas de pensées n'ont jamais obtenu le label de la vérité universelle

Combats farfelus

Puisque la parité est obtenue, puisque les clients des prostituées vont être stigmatisés, qu'est-ce qu'elles pourraient bien trouver d'autres pour pouvoir exister ? Oh on ne peut pas leur reprocher leur manque d'imagination ainsi ces dames se sont mobiliser pour :

- Rendre le terme "Mademoiselle" interdit sur les documents officiels
- Faire du lobbying auprès de l'Académie française afin de supprimer la règle de grammaire stipulant que si dans une énumération il y a du masculin et du féminin, c'est la masculin qui l'emporte (sans commentaire)

La police de la pensée

Un étude surréaliste dont je vous invite à lire le commentaire nous apprend que tenez vous bien : "Le cinéma continue à discriminer les femmes". Il serait ici hors sujet de contester l'étude elle-même (quoi que...) mais ce qui est grave et dangereux dans ce genre de considérations c'est qu'on s'en prend à la liberté de l'artiste, à la liberté de création. La police de la pensée n'a décidemment jamais été aussi près de nous.

Et si elles allaient voir ailleurs ?

Le combat des femmes reste d'actualité à l'international, là il reste du boulot (en Afrique, dans les pays arabes, en Inde...) Oh, il est vrai que ces dames en parlent, et pondent des articles bien au chaud à des milliers de kilomètres de celles qui souffrent... C'est tellement plus courageux d'emmerder les clients des prostituées, les concepteurs d'affiches sexy, ou les auteurs de livres de grammaire !

Et puis surtout... 

Au nom de quoi les féministes s'autorisent-elles à parler au nom de toutes les femmes ?

Citations salutaires ou humoristiques


Note :
(1)
c'est un peu comme dans l'art, dès qu'on critique l'art moderne on est aussitôt qualifié de conservateur et de réactionnaire (et d'ignare en plus)
(2) Pour ce paragraphe nous remercions l'auteur de l'article dogma 2 : http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/09/26/dogma-2-la-folie-du-feminisme-radical.html
(3)
"journée" créée en 1921 par le Parti Communiste Soviétique)
(4) Le syndrome de la grande souffrance : Névrose obsessionnelle présente chez certains sociologues, psychothérapeutes et féministes qui n'arrivant pas à admettre qu'on puisse avoir d'autres valeurs que les leurs, récusent toute bonne foi à ceux qui les expriment. Cosi fan tutte est une tragédie car derrière le masque de la farce, se cache une grande souffrance.. Cette attitude conduit par exemple à justifier le fait qu'on ne tienne pas compte de la parole des prostituées dans les débats qui les concernent. Va souvent de paire avec le syndrome de Linda Lovelace.
(5) Le syndrome de Linda Lovelace est une névrose obsessionnelle présente chez certains sociologues, psychothérapeutes et féministes qui s'acharnent à vouloir trouver absolument un rapport de cause à effet entre le fait de s'être fait tripoter dans son enfance par un parent (ou un voisin, un ami de la famille...) et celui de pratiquer un métier du sexe.
(6) Voir aussi comment fonctionnent les lobbies anti tabac
(7) Si je ne précise pas ma position à ce stade sur le "mariage sur tous", cela me sera reproché. Alors disons que je n'ai rien contre puisque je défends la pratique du consentement mutuel, mais pourquoi tant d'acharnement pour élargir une institution que je trouve dépassée. Au passage, ça n'a rien à voir, mais ceux qui nous clament à tout va que le mariage hétéro procède d'une loi naturelle devraient nous expliquer où ils ont été chercher les sources d'une telle ânerie ?