Les Méchantes au cinéma
Page mise à jour le
16/06/2016
Une sélection de méchantes, des belles et des terrifiantes
Ann Blyth (dans "le roman de Mildred Pierce" de Michael Curtiz, 1945),
abominable enfant gâtée, pour qui tout lui est dû.
Mercedes McCambridge (dans "Johnny Guitar" de Nicholas Ray, 1954) Une des pires
teignes de l'histoire du cinéma, frustré, aigrie, menteuse, manipulatrice...
Simone Signoret (dans "Les Diaboliques" de Henri-Georges Clouzot, 1954).
Manipulatrice et dominatrice, elle monte un stratagème pour se débarrasser de
son mari
Kim Novak (dans "Sueurs froides" d'Alfred Hitchcock, 1958) .
Bette Davis (dans "Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?" de Robert Aldrich, 1962)
La splendide Helga Line, tyran de Babylone dans Hercule contre les tyrans de
Babylone, un péplum de Domenico Paolella (1964)
Tura Satana, Haji et Lori Williams dans "Faster, Pussycat! Kill! Kill!" (Russ
Meyer - 1965)
Wandisa Guida jouant le rôle de la reine Fariza et prouvant qu'on peut être à la
fois très belle et très méchante dans "Maciste dans les mines du roi Salomon" de
Piero Regnoli (1965)
Shirley Stoller incarnant la tueuse en série
Martha Beck
dans le film Honeymoon Killers (les tueurs de la lune de miel), de Leonard
Kastle (1970)
Bette Davis (dans "The Anniversary" de Roy Ward Baker, 1971)
Delphine Seyrig (dans "les lèvres rouges" de Harry Kummel, 1971). Ingrid Pitt
("Comtesse Dracula" de Peter Sasdy, 1971,) et Paloma Picasso (dans le sketch des
"Contes immoraux" : "Erzsébet Báthory" de Walerian Borowczyk 1974) incarneront
toute trois la Comtesse Bathory
Nancy Allen (dans "Carrie" de Brian De Palma, 1974) à l'origine de l'humiliant
bizutage de Carrie et Piper Laurie la mère détraquée de Carrie
Faye Dunaway (dans On l’appelait Milady de Richard Lester, 1974), illuminant de
sa beauté le rôle de Milady de Winter dans ce film bien médiocre.
Anne Parillaud (dans "Nikita" de Luc Besson, 1990)
Kathy Bates (dans Misery de Rob Reiner, 1990) Elle a terrifié toute une
génération de fan des films d'horreur. Dans cette adaptation de Stephen King, il
fallait bien la carrure et la banalité apparente de Kathy Bates pour faire de
Annie Wilkes ce monstre - aussi fantastique que proche de nous.
Sharon Stone (dans "Diaboliques" de Jeremiah S. Chechik, 1996, mauvais remake du
film de Clouzot)
Catherine Zeta-Jones (dans "Chicago" de
Rob Marshall, 2002)
Hilary Swank (dans "Le Dahlia noir" de Brian de Palma, 2006)
Sur cette page d'autres méchantes qui ne sont pas des méchantes de cinéma mais des méchantes qui furent bien vivantes (certaines le sont encore)