Marjorie 1ère, princesse d'artichaut à Massy
Page mise à jour le
28/01/2010
Histoire
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A l'origine il y avait le château de
Vilgénis, construit en 1823 par la Vicomtesse Cunégonde de Massy-Trouille. (Tout
le confort, eau chaude à tous les étages, connexion internet gratuite, 55
hectares de vert prés, et un joli petit étang où les canards devisent gaiement
avec les poissons rouges.)
La domesticité de la vicomtesse élut domicile près des remparts du dit-château
dans des petites huttes en bois dont les planchettes étaient découpées à l'aide
d'un outil spécial, le Massy-Caux
Fusion de commune
Le baron voisin du château de Palaiseau vint un jour conter fleurette à la belle
Cunégonde et lui tint peu près ce langage :
- Cunégonde, c'est étrange, quand je vous voie, je ressens comme un afflux
sanguin dans mes corps spongieux et une dilatation de mes tissus érectiles.
- Voilà qui est singulier ! Répondit la vicomtesse.
- Et vous, dites-moi sincèrement : lubrifiez-vous en ce moment votre muqueuse
vaginale ? Demanda le baron.
- Ce n'est pas impossible, tentateur que vous êtes !
- Dans ce cas je procéderais bien volontiers à une intromission vulvaire par
frottis successifs jusqu'à l'émission de mon liquide séminal.
- Faites donc, mon cher Baron, je vous en prie.
De cette union charnelle naquit le petit Raymond-Etienne-Romuald de
Massy-Palaiseau. Et les deux communes fusionnement dans la joie et l'allégresse.
La guerre de 1870
En 1870, l'armée prussienne envahit le territoire de Massy-Palaiseau. Ils
condamnèrent à mort les deux châtelains, coupables de ne pas avoir assez de
réserves dans leurs châteaux pour nourrir toute la soldatesque en route vers
Paris. Le Baron de Palaiseau subit le supplice du pal et la Vicomtesse de Massy
fut tuée à coup de masses. Quand à Raymond-Etienne-Romuald, il disparut dans la
forêt avoisinante, menant une vie misérable, vêtu de pauvres bêtes.
La Gare
Les prussiens partis, et Napoléon III démissionné, la république s'installa en
France. Le châtelain tout juste sorti du bois, du faire face à l'hostilité des
habitants des deux villes. Ceux-ci ne souhaitaient plus être gouvernés par des
nobles et ils défusionèrent. Alors Raymond-Etienne-Romuald qui voulait que son
nom passe à la postérité, s'installa entre les deux communes et construit
semaines après semaines, ce curieux nœud ferroviaire qui s'appelle la Gare de
Massy-Palaiseau.
En 1985, le président de la république, Monsieur François Mitterrand voulu
honorer la mémoire de Raymond-Etienne-Romuald et rebaptisa en grande pompe la
gare en R.E.R Massy-Palaiseau.
Habitants
Il ne faudrait pas les oublier... ce sont les Massicots, bien sûr !
(1) Incompréhensible n'est ce pas ? Que voulez-vous les frappés du blason ne parlent pas comme tout le monde !