Le MOMOSITE vous présente

 

Les séquences et les scénarios les plus...
Les séquences et les scénarios les trop...

Page mise à jour le 24/08/2022

Petite sélection partiale et subjective

Les films les moins bavards

- Silent movie (La dernière folie) de Mel Brooks (1976) La seule parole prononcée l'étant par... le mime Marceau
- La guerre du feu de Jean-Jacques Annaud (1981) Par contre ça grogne pas mal (mais le film est excellent)
- Le dernier combat de Luc Besson (1983) Juste 2 ou 3 grognements
- The artist de Michel Hazanavicius (2011)   "The Hollywood Reporter" rapporte que des spectateurs britanniques auraient demandé à être remboursés, estimant qu'ils avaient été lésés. Aucun avertissement leur ayant signalé que le film était muet !

2020 - Les amants s'embrassent toujours devant la fenêtre à heure fixe !

Le film : Fatale
Le réalisateur :Deon Taylor (2020)
La scène : * Regarde dans les jumelles dis la fliquette au gars… Et juste à ce moment-là, le gars voit sa femme devant la fenêtre en train d'embrasser son meilleur pote. C'est bien connu, les amants s'embrassent toujours devant la fenêtre à heure fixe !

2018 - La grande souffrance de l'ordinateur

Le film : Tau
Le réalisateur : Federico D'Alessandro (2018)
La scène : L'informaticien maboul veut punir son ordinateur ! Pour cela il il lui efface une partie de sa mémoire, L'ordinateur nous gratifie alors des cris désespérés de sa grande souffrance  

2018 - Le grand prix du n'importe quoi

Le film : The Perfection
Le réalisateur : Richard Shepard (2018)
Le pitch : Afin de faire prendre conscience à une nana qu'il lui faut se venger d'un prof de musique pédophile, une nana qu'elle a rencontré juste la veille lui coupe la main !

2017 - La séquence de psychanalyse la plus débile

Le film : Le grand jeu (Molly's game)
Le réalisateur : Aaron Sorkin (2017)
La scène :
Dans la dernière partie du film, la belle Jessica Chastain, demande à rencontrer papa (Kevin Costner, mauvais comme tout). En cinq minutes chronos, papa-la science effectue une psychanalyse complète de sa fille et lui explique que si les relations père-fille ont été difficiles c'est parce que la môme à quatre ans l'a vu en voiture avec une autre femme, il se met alors à chialer comme une madeleine parce que "tromper sa femme c'est pas bien" et même qu'il a honte, mais il se rattrape en expliquant qu'il est un bon père parce qu'il a donné une bonne situation à ses autres lardons et que dans la vie il faut être un winner. Débile et débectant

2016 -  Anachronisme technologique

Le film : La Mécanique de l'ombre
Le réalisateur : Thomas Kruithof (2016)
La scène  : En 2016, un cadre des services secrets engage un chômeur et ex alcoolique pour retranscrire à la machine à écrire des écoutes enregistrées sur cassettes audio. Personne ne lui a dit au cadre,  que Microsoft Word faisait ça tout seul ! Et pourquoi une machine à écrire ? Parce que le mec n'a pas confiance dans les ordinateurs ! Personne ne lui a dit non plus qu'un ordinateur n'était pas obligatoirement connecté !

2015 - Catalogue d'invraisemblances

Le film Mission Impossible - Rogue Nation
Le réalisateur :Christopher McQuarrie
La franchise "Mission impossible est un véritable nid d'invraissemeblance, amsi dans cet opus on y est allé fort : Florilège :
Quand on envoie une tueuse opérer à l'Opéra on l'habille avec une robe du soir jaune citron, très pratique pour se dissimuler et prendre la fuite.
Pour tuer un mec à l'Opéra on a un plan A très complexe et un plan B bien plus simple ? Pourquoi ne pas choisir de suite le plan B ? Parce que le plan A permet de tourner une scène de 20 minutes qui sinon n'aurait pas été possible !
On a une salle de torture lourdement gardée par des costaux armés jusqu'aux dents. On fait comment pour sortir ? Heureusement, il y a une porte de derrière
Tom Cruise se casse la gueule en moto à 220 kilomètres à l'heure, sans casque. Mais heureusement il avait ses lunettes de soleil !.
Pour lire une clé USB, il faut une identification par le premier ministre. Comment on fait si le dernier clapote, démissionne ou est remplacé ?

2014 - L'humour le plus lamentable

Le film : The grand Budapest hôtel -   

Le réalisateur : Wes Anderson (2014)
La scène : Un type très énervé monte en voir un autre dans une maison à étage, il prend son chat et le jette par la fenêtre. "Est-ce qu'il vient de jeter mon chat par la fenêtre ?" demande le bonhomme. Réplique qui est censé faire rire . Le lendemain le même type reçoit un paquet contenant le cadavre du chat, c'est également censé faire rire . Berk.

2014 - fabrication du vin ultra rapide (le remake)

Le film : Noë
Le réalisateur : Darren Aronofsky
La scène :

L'arche de Noé au premier degré ! Après tout c'est une idée comme une autre, en revanche on remarquera que Noé prend une cuite… avec du jus de raisin frais ! (Remarque : Mario Camérini avait commis la même bévue en 1954 dans le film Ulysse avec Kirk Douglas)

2012 - Le pire défi technique

Le film : Total recall (2012)
Le réalisateur :Len Wiseman
La scène : La ligne droite étant le plus court chemin d'un point à un autre, pour aller de Grande-Bretagne jusqu'en Nouvelle Zélande, il suffit de traverser le globe terrestre en métro spécial ! Et comme le scénariste se croit très fort, il a même pensé au problème d'inversion de gravité une fois le centre atteint. Il n'a juste oublié que la température ambiante (6000°) et la pression (300 millions d'atmosphères) !

2012 - Du gore à gogo

Le film  Piranha2 3D 2 (2012)
Le réalisateur : John Gulager 
La scène : A la fin du film, le directeur du centre de loisirs prend la fuite en voiture, se fait décapiter par une ficelle tendue et sa tête coupée finit par atterrir entre les seins (conséquent) d'une jeune femme. Le film contient d'ailleurs deux ou trois scènes du même tonneau, la pire étant celle ou un type faisant l'amour avec une fille se retrouve avec un piranha au bout du sexe, il est obligé de se mutiler pour s'en sortir, quelques instants plus tard, la fille affolée vient voir ce qui se passe et voit le piranha mourant recracher le morceau de sexe.

2012 : Pudeur illogique

Le film : Cloned: The Recreator Chronicles
Le réalisateur :  Gregory Orr (2012)
La scène : Tracy ne veut pas aller faire caca dans la forêt et préfère entrer par effraction dans une propriété privée

2011 - Les stripteaseuses les plus cools

Le film : Drive (2011)
Le réalisateur : Un film de Nicolas Winding Refn
La scène : Ryan Gosling fout un bordel  pas possible dans les loges des stripteaseuses (il va quand même jusqu'à fracasser la main d'un type à coups de marteau), lesquelles ne s'aperçoivent même pas de sa présence et continuent à se pomponner. Dans une autre scène, Ryan Gosling se sachant menacé dans l'ascenseur par un tueur mafieux prend le temps de rouler une pelle à sa copine avant de fracasser le méchant.

2010 - L'enterré vivant grotesque

Le film : Buried
Le réalisateur : Rodrigo Cortes
La scène ; En fait tout le film est un tissu d'incohérences et d'invraisemblances :
On a par exemple un serpent qui vient taquiner un mec enterré vivant dans un cercueil et qui manque d'oxygène ! Il n'a aucune raison d'être sous terre, même à faible profondeur, et à fortiori dans le pantalon du héros l Certes, on pourrait imaginer qu'il se soit faufilé à travers un passage aéré. Mais s'il y a de l'air le héros ne devrait pas étouffer.
Par ailleurs, quand le héros inspecte les planches du cercueil, il ne voit pas le trou par lequel le serpent s'est faufilé
Ses ravisseurs lui ont donné un téléphone, c'est pour qu'il s'en serve, (il doit contacter l'ambassade et demander une rançon) pourquoi alors lui donner un téléphone dont la majorité des inscriptions sont en arabe.
Qu'on nous explique à quoi ça sert d'allumer son briquet pour consulter un écran rétroéclairé ?
Il y a une barre barre fluorescente qui devrait briller, bizarrement sa lumière ne traverse pas le sac à dos dans lequel elle est est posée.
Et ce ne sont que les plus flagrantes, un internaute en a relevé plus de 20 !

2006 - La scène d'amour la plus folle

Le film : Hyper Tension
Les réalisteurs :  Mark Neveldine et Brian Taylor (2006)

La scène :  Jason Statham ayant un besoin urgent d'adrénaline entreprend de baiser publiquement Amy Smartt en plein quartier chinois devant une foule nombreuse (dont un car scolaire) qui observe la scène médusée et qui finit par les applaudir.

2006 - Une chanson en yaourt

Le film : OSS 117, La Caire, nid d'espions (2006)
Le réalisateur : Michel Hazanavicius
La scène : Dujardin se retrouve obligé d'improviser une chanson en  arabe en s'accompagnant au oud (guitare arabe) alors qu'il ne parle pas la langue, il va donc chanter Bambino en yaourt.

2006 - Le scénario le plus nimportnawak

Le film : Southland Tales (2006)  
Le réalisateur Richard Kelly

Le pitch (du moins c'est ce qu'on croit comprendre pace que c'est très embrouillé) Un savant fou élabore un générateur d'énergie inépuisable à partir du mouvements des marées. Cette technologie ralenti la rotation de la Terre provoquant une faille dans le continuum spatio-temporel. Ceux qui entrent dans la faille se dédoublent… or deux d'entre eux sont impliqués dans des intrigues visant à perturber l'élection présidentielle américaine. Mais Sarah Michelle Gellar en reine du porno est également impliquée avec ses copines

2004 - La plus invraisemblable

Le film : Les Chroniques de Riddick (2004)
Le réalisateur : David Twohy
La scène : Il faut traverser un désert sur une planète (Crematoria) où la température est de 700 degrés ! Pas grave on y va quand même, il suffit de s'asperger d'eau !
Salué comme un chef d’œuvre incontournable de la science fiction par Mad Movie et par Entrevue (de quoi je me mêle ?),  je me précipite ! Deux heures après je constate que j’ai perdu mon temps et mon argent. Une histoire incompréhensible, des personnages sans aucun intérêt, des dialogues stupides, des costumes ridicules (genre casseroles en fer blanc). Des invraisemblances inimaginables. Un acteur tête à claques (Vin Diesel). Des allusions religieuses pénibles et vaseuses. Des poncifs éculés (la bagarre, un mec contre 25 qui se pointent tous les uns après les autres...  La fin où le gros méchant veut affronter seul le "gentil héros"). Bref un film pour ados boutonneux au QI limité. A fuir !

2003 - Un titre trompeur et stupide

Le film : 21 grammes 
Le réalisateur : Alejandro González Iñarritu
Le titre  ;  Je croyais qu'il s'agissait d'une histoire de drogue, ensuite vu le déroulement du film, d'une histoire de taux d'alcoolémie, ben pas du tout. On n'apprend qu'à à la fin que 21 grammes ce serait le poids de l'âme (et tout ça au premier degré !), j'aurais su cela au début, cela m'aurais évité de regarder cette cuterie.

2001 - Une scène digne des "Nouveaux monstres"

Le film : Cradle of Fear
Le réalisateur : Alex Chand
La scène : La voiture renverse un piéton qui tombe inanimé. "Va voir !" dit la copine du chauffeur. Il y va, examine la voiture et revient en disant : "Rien du tout, même pas une éraflure !" avant de redémarrer…

1998 - La conclusion la plus grotesque

Le film : Il faut sauver le soldat Ryan
Le réalisateur : Steven Spielberg
La scène : C'est la dernière scène du film : 50 ans après le débarquement, le vieux Ryan se rend en pèlerinage dans un cimetière militaire américain de Normandie. Après un pénible soliloque, il demande à sa femme si dans sa vie "il a été un homme bon", (en fait il cherche à savoir si les soldats américains qui se sont donnés un mal de chien pour le rapatrier ont eu raison de le faire). elle semble surprise par la question (ben oui c'est quoi un homme bon , un bon mari, un bon père de famille, un bon américain,...) mais répond "oui", cela aurait été rigolo au second degré, genre "faut pas contrarier pépère", mais c'est hélas du premier, ce qui rend la scène absolument grotesque. (sinon le film est bon).

1998 - Les bons réalisateurs ne devraient jamais faire des films alimentaires

Le film : L'enjeu (1998) 

Le réalisateur Barbet Schroeder
La scène :
Le gentil est poursuivi par la police, il enfourche donc n'importe quelle moto prise au hasard qui démarre aussi sec sans l'aide d'un clé de contact, sur le plan suivant on le voit 100 mètres plus loin sur sa moto avec un casque vissé sur sa tête, il l'a trouvé où ? il l'a mis quand ? En fait ce film est véritable catalogue d'invraisemblances :  on y voit par exemple un détenu classé hyper dangereux qui se trimbale avec des chaussures à lacets dans sa prison,  un  demi-tour sur une autoroute hyper encombrée avec semi remorques et motards qui se résulte par zéro morts et zéro blessés, un garçonnet leucémique en phase terminale qui courre comme un lapin... et plein d'autres à croire que c'est fait exprès.

1998 - Le scénariste avait fumé la moquette

Le film : Lettre à un tueur (1998)

Le réalisateur : David Carson

L'histoire : Machin en prison écrit à quatre correspondantes, on ne sait pas si elle sont toutes ses maîtresses, mais on s'en tape. Un jour le gardien qui est très pervers interverti les courriers. Sur ce Machin est innocenté est sort. L'une des femmes folle de jalousie, va entreprendre de tuer les trois autres et de signer ses crimes en leur coupant l'index.

1997 - L'extraterrestre le plus décevant

Le film : Contact (1997)
Le réalisateur : Robert Zemeckis.
La scène : Après bien des péripéties et pas mal de digressions philosophiques sur les rapports entre la science et la foi (dont nous n'avons strictement rien à cirer), Jody Foster débarque sur une planète et rencontre un extraterrestre qui quitte son apparence spectrale pour revêtir celle de... son père en allant jusqu'à dire à Jody qu'elle a les mêmes mains que sa mère !!! (Deux heures à patienter pour en arriver là !). Cette scène a provoqué une violente réaction de Trey Parker et Matt Stone les créateurs de South Park) lesquels dans l'épisode "Tom's Rhinoplasty" (1998) vont jusqu'à se servir de l'évocation du film "Contact" en guise de vomitif.

1997 - On fait des économies sur les costumes

Le film : Bienvenue à Gattaca (1997)

Le réalisateur : Andrew Niccol
La scène : Le film va se terminer et une petite équipe intègre une navette spatiale en partance pour Titan. Sans doute le budget du film était-il épuisé, car au lieu d'y aller avec des combinaisons adaptées ,tout ce petit monde s'envole en costard cravate !

1997 - Trop la chance !

Le film : The Game (1997)
Le réalisateur : David Fincher
La scène : Michael Douglas est manipulé dans une sorte de jeu. Vers la fin, il pense avoir tué son frère (alors qu'il est encore manipulé) et se suicide en se balançant du haut d'un building en traversant une verrière. Certes, la chute était prévue avec matelas amortisseur (l'un des protagonistes a la bonté de nous le préciser "si vous n'aviez pas sauté, j'aurais été obligé de vous pousser") mais en elle a lieu juste au point P et pas 5 mètres à côté sur la gauche ou sur la droite, faut pas déconner quand même !)

1997 - Où vont-ils chercher tout ça ?

Le film : Le loup Garou de Paris  
Le réalisateur : Anthony Waller
La scène : On se plaint parfois du manque d'imagination des scénaristes... mais là en revanche ils ont fait fort ! Dans une église désaffectée a lieu une orgie avec des loups garous, un type à demi nu offert en sacrifice est crucifié. Suite à différentes péripéties, descente de police, fusillades et autres, la panique s'empare de tout ce petit monde qui parvient à fuir l'église par le porche principal, au milieu de cette foule, le crucifié a réussi à se détacher les pieds (mais seulement les pieds). Et il nous fait  une sortie tellement remarquée qu'un policier de faction devant la sortie se signe !

1997 - Billard cosmique

Le film : Deadfire 2064 (le vaisseau de l'enfer)  
Le réalisateur : Robert Lee
La scène  : Nos deux héros vont mourier à bord d'une navette spatiale, Sur Terre tout le monde est mort. Mais arrive C. Thomas Howell, qui va sauver nos héros d'une situation catastrophique et l'avenir de la terre en même temps en raison de ses compétences… au billard.

1996 - Nul et insupportable

Le film : Bernie (1996)
Le réalisateur : Albert Dupontel
La scène : Bernie ne trouve rien de mieux pour faire parler le gardien d'une cité que de bouffer la tête de son canari ! C'est aussi nul qu'insupportable !

1994 - Le prénom français le plus ridicule de l'histoire du cinéma

Le film : Entretien avec un vampire (1994)
Le réalisateur : Neil Jordan d'après un roman de Anna Rice
Anna Rice est tellement imprégnée de culture française qu'elle s'est imaginée que Lestat était un prénom français ! (vous vous imaginez la scène dans un bureau : Lestat apportez-moi les stats !) Il paraît que depuis la sortie du film quelques parents ont osé affubler leur progéniture de cette idiotie !

1993 - Une scène trop débile dans un excellent film

Le film : Jurassic Parc -Le monde perdu (1993)
Le réalisateur : Steven Spielberg

La scène : Alors qu'un petit groupe de rescapés est menacé par des vélociraptors dans une cabane abandonnée, une gamine par ailleurs assez pénible, se livre à des mouvements de gymnastique sur des canalisations et envoie valser d'une double savate un montre de 500 kilos ! On se demande pourquoi cette ineptie a été conservée au montage final !

1993 - Il est dangereux de faire un strip-tease devant un vampire

Le film : Victime du vampire  
Un film de Adam Friedman  (1993)
La scène : La très belle et plantureuse Charlie Spradling nous fait un fabuleux strip-tease, elle ignore que la salle se trouve un vampire très alléché

1993 - Il est dangereux de servir d'appât pour maîtriser un dangereux vampire

Le film : Midnigt kiss
Un film de Joel Bender  (1993)
La belle Michelle Owens, dont c'est hélas la seule apparition au cinéma va l'apprendre à ses dépends...

1992 - Un génie des échec en herbe

Le film : Bodyguard (1992)
Le réalisateur : Mick Jackson
La scène : Intermède très hollywoodien où Costner accompagné de Whitney Houston, vient voir son papa. On sort l'échiquier pour reprendre une partie d'échecs entamée depuis trois ans. Le môme de Whitney se pointe comme un cheveu sur la soupe, regarde le jeu 10 secondes et déclare d'une voix assuré : "Cavalier prend pion", ce qui met le papa en position d'échec. Trop fort le môme !

1990 - La femme la plus méchante de l'histoire du cinéma

Le film : Misery (1990)
Le réalisateur : Rob Reiner.
La scène : Il faudrait citer tout le film. Kathy Bates y joue le rôle d'une tarée, névrosée, refoulée et sujette à des crises de démence destructrice.

1989 - Une scène d'amour avec un patch sur les tétons !

Le film : Embrasse-moi vampire (1989)
Le réalisateur : Robert Bierman
La scène : Que Jennifer Beals n'ait pas souhaité tourner nue, après tout c'est son droit, même si on a aussi le droit de penser que c'est un peu ridicule. Donc pour la scène d'amour non seulement elle garde sa culotte mais en plus elle se colle un patch pour cacher ses tétons. Le gars qui a fait le montage aurait dû se débrouiller pour nous cacher ça ! Ben non, il a trouvé ça tellement normal qui nous a resservi deux fois la même scène… et c'est ainsi que Jennifer Beals passera à la postérité pour avoir tourné la première double scène d'amour avec patch !


Jennifer Beals en culotte et avec un patch au sein simule une scène d'amour avec Nicolas Cage.

1988 Le film le plus foutraque de l'histoire du cinéma

Le film : Le retour des tomates tueuses -   1988
Le réalisateur : John De Bello -
La scène : Parce que figurez vous que cette charmante jeune fille (Karen M. Waldron) est en fait.. .une tomate et devant elle la boule rouge c'est TV (une tomate velue)

1988 - La plus belle toon

Le film : Qui veut la peau  de Roger Rabbit (1988)
Le réalisateur : Robert Zemeckis
La scène :
- Jessica : Vous ne savez pas ce que c'est d'être une femme qui a mon physique !
- Eddie :  Ouais ! Et vous, vous ne savez pas ce que c'est d'être un homme en face d'une femme qui a votre physique ?


Jessica

1988 - Une belle rousse dans un non-film

Le film : Se lo scopre gargiulo

Le réalisteur :  Elvio Porta (1988)
Après nous avoir dévolié ses charmes , la magnifique  Giuliana de Sio se balade pendant tout le film avec un décolleté impossible et un sourire craquant, Quant à l'hsioire on n'y comrend rien du tout ! Frustant !

1986 - Le repas de plus éprouvant

Le film  : Pirates  (1986)
Le réalisateur : Roman Polanski
La scène : Le Capitaine du vaisseau espagnol a appris que le Capitaine Red (Walter Mathau) a tenté d'infecter la soupe de l'équipage en y introduisant un cadavre de rat. (cela afin de provoquer une révolte) Il va donc obliger Red et son complice "la grenouille" à déguster ce rat dans une assiette.

1985 - Un film à gros budget très érotique

Le film : Lifeforce ( L'étoile du mal) (1985)
Le réalisateur : Tobe Hooper


Mathilda May, bien sûr... (quelle dommage qu'elle ne fasse plus grand chose...)

1985 - La zombinette la plus sexy

Le film : le retour des morts-vivants
Le réalisateur :  Dan O'Bannon
Dans ce film, un jolie punkette interprétée par la jolie Linnea Quigley se balade à poil pendant toute la première partie du film. Evidemment elle sera rapidement zombifiée !

(
Linnea Quigley

1985 - Une scène de Car-Wash érotique dans un film "grand public"

Le film : Le facteur de Saint-Tropez
Le réalisateur : Richard Balducci

Précisions : Ce sont des jeunes femmes qui officient dans des stations services un peu spéciales et qui vous lavent votre voiture en s'aidant de leurs seins et de leurs fesses..

1984 - La plus surprenante (dans un film X)

Le film : Les grues au 7ème ciel
Le réalisateur : Michel Ricaud (1984)
La scène : Qui a dit que les films X  manquait d'imagination ? Yoko qui s'exhibe dans son canapé face à un immeuble en construction est repéré par un grutier, elle lui demande alors par geste de lui faire parvenir à l'aide de la grue un godemichet qu'il a dans sa cabine (on ne sait pas pourquoi , ni comment). Il n'y a pas de trucage c'est fait avec une vraie grue dont l'entreprise sera cité et remercié lors du générique de fin.

1983 - La plus nimpornawak

Le film :Terreur à domicile (d'origine inconnue)
Le réalisateur : George Cosmatos (1983)
La scène : Pater Weller a de gros problèmes avec un rat dont il n'arrive pas à se débarrasser (c'est le sujet du film). Il téléphone à une entreprise de dératisation, et précise qu'il laissera ses clés sous le tapis de l'escalier et que le chèque sera enfermé dans le capot transparent d'un électrophone. En rentrant chez lui, il constate que l'entreprise est bien passée (le chèque n'est plus là) mais que le rat est toujours là. Furieux, il téléphone à l'entreprise qui l'envoie promener en lui expliquant qu'elle n'a pas trouvé le chèque. on en conclue donc que c'est le rat qui a fait disparaître le chèque ! Trop fort le rat !

1982 - La plus pourrie

Le film : Conan le Barbare (1982)
Le réalisateur : John Milius
La scène : Comment faire pour faire un film fasciste sans que personne ne déclenche une campagne de boycott : vous transposez  l'action dans un passé mythique en y ajoutant une dose de fantastique, tout le monde n'y voit que du feu, et le film sera même encensé par la critique spécialisée. (Mad Movies)  Dans une scène complètement hors de l'action où le héros (Arnold Schwarzenegger) apprend la philosophie transcendantale chez un "sage" local, Conard le Barbant révise son enseignement :
Le sage : Qui y a t-il de mieux dans la vie ?
Conan : Ecraser ses ennemis, les voir mourir devant soi et entendre les lamentations de leurs femmes.

(le pire c'est que des conneries à gerber, comme cela, il y en a 3 ou 4 dans le film, c'est décousu, homophobe, putophobe, et pour reprendre l'expression du Times magasine :"Stupide et ahurissant ".  Peu de gens s'en sont aperçu à l'époque, sauf sans doute, Schwarzy lui-même qui s'est fendu d'une suite beaucoup plus cool (avec Grace Jones !)

1981 - La plus inattendue

Le film : Les aventuriers de l'arche perdue  (Raiders of the lost ark) (1981).
Le réalisateur : Steven Spielberg
La scène : Indiana Jones se sort difficilement d'un long duel au sabre contre une groupe de guerriers particulièrement combatifs et pugnaces, c'est du beau spectacle, mais ça dure un peu. Tous les attaquants ayant été défaits, on se dit que maintenant on va peut-être passer à autre chose. Ben, non voici qu'apparaît un géant super motivé armé d'un cimeterre énorme et paradant comme avant une mise à mort. On se dit qu'on est reparti pour 10 minutes de bagarre qui n'étaient peut-être pas nécessaire. Au moment où l'on croit que le duel va s'engager, Indiana Jones (Harrison Ford) sort son flingue et bousille l'adversaire en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Du coup on peut passer à la séquence suivante. Et on se régale...

1979 - La plus sensuelle

Le film : Alien (1979)
Le réalisateur : Ridley Scott
La scène : Le film va se terminer, du moins c'est ce que croit le spectateur. Sigourney Weaver, s'apprête à rejoindre son module d'hibernation dans son vaisseau de secours, et elle enlève sa combinaison d'astronaute, nous apparaissant en tee-shirt et petite culotte ! Bigre ! Comment une scène aussi banale et aussi sage peut-elle contenir une aussi forte connotation sexuelle ? En tous les cas on ne s'en lasse pas !

1976 - Trop la chance !

Le film : L'âge de cristal
Le réalisateur :  Michael Anderson (1976)
La scène : Michael York (en grand niais) et la très belle Jenny Agutter s'échappent d'un espèce de dôme où on fait croire à tout le monde que la vie s'arrête à 30 ans mais qu'on se réincarne ensuite (en fait on supprime tout ceux qui ont atteint cet âge afin de d'éviter les problèmes de surpopulation) Après avoir traversé des glaciers, des forets et des fleuves, les voici à Washington ou du moins ce qu'il en reste parce qu'il y a eu un cataclysme qui a décimé tout le monde... Tout le monde, pas tout à fait, il y a un survivant à Washington ! Et justement nos deux zigotos le découvre tout de suite ! Trop la chance, je vous dit !

1975 - Le duel le plus long au pistolet

Le film : Barry Lyndon (1975)
Le réalisateur : Stanley Kubrick
La scène : Le long duel entre Barry Lyndon et son beau-fils dure un certain temps. Kubrick joue avec nos nerfs dans ce long duel plein d'imprévus et de rebondissements. Sans doute la plus belle scène du film.

1974 - Un monstre "préhistorique" avec des gros yeux

Le film : It's alive
Le réalisateur : Larry Buchanan

La scène : Une mare souterraine remplie d'un liquide rouge qui bouillonne et de là-dedans soudain surgit un monstre en carton-pâte

1974 - La plus belle des méchantes

Le film : On l'appelait Milady (second épisode des trois mousquetaires - 1974)
Le réalisateur : Richard Lester
Faye Dunaway incarne le personnage de Milady de Winter d'après "les trois mousquetaires d'Alexandre Dumas. Une vraie garce, mais une si belle garce !

1974 - Le travesti le plus pathétique

Le film : Le locataire (1974)
Le réalisateur : Roman Polanski
Les acteurs : Roman Polanski et Isabelle Adjani


Et oui, c'est bien lui ! Et le film est magnifique.

1973 - L'une des plus belles morts

Le film : Soleil vert (1973)
Le réalisateur : Richard Fleisher
La scène : Edward G. Robinson choisit de mourir, il existe des centres spécialisés pour ça où l'on peut choisir ses dernières images et sa dernière musique et l'on voit donc le vieil acteur s'éteindre au son de la symphonie pastorale de Beethoven. et de Peer Gynt de Grieg.  Sublime !

Le film : La Grande bouffe (1973)
Le réalisateur: Marco Ferreri
La scène : Ugo Tognazzi se suicide en se goinfrant comme un porc. A sa demande la pulpeuse Andréa Ferréol, les larmes dans les yeux lui permet de sa main d'avoir en mourant un dernier orgasme.

1973 - Une des plus belles parties de cartes

Le film : L'arnaque (1973)
Le réalisateur : George Roy Hill
La scène : Longue et éprouvante partie de poker tricheur entre Paul Newman et Robert Shaw entouré de ses acolytes dans un train

1973 - L'eau qui protège des balles

Le film : L'homme des hautes plaines  (1973)
Le réalisateur : Clint Eastwood
La scène : Mariana Hill surprend Clint Eastwood dans sa baignoire, elle lui tire dessus et le rate (rater quelqu'un dans une baignoire !) Mais elle insiste, que fait alors Clint pour se protéger, il se cache dans l'eau. D'aucuns expliquent que Clint est sans doute un fantôme donc les balles ne l'atteignent pas… mais dans ce cas pourquoi les fantômes se cachent-t-ils sous l'eau ?

1973 - Une incroyable erreur de casting

Le film : Les trois mousquetaires (1971)

Le réalisateur : Richard Lester
De quoi s'agit-il ? Le grand Charlton Heston (le survivant, la planète des singes, la soif du mal) interprète... Richelieu, N'importe quoi !

1972 - Suicide et humour noir

Le film : Une belle fille comme moi  (1972) 

Le réalisateur : François Truffaut
La scène : Après avoir tenté de tuer son mari (Philippe Léotard) et l'un de ses amants et avocat véreux (Claude Brasseur), Charles Denner un autre de ses amants, entraîne Bernadette Laffont en haut d'une tour afin qu'ils se suicident de concert. Sur place Denner demande "on saute l'un après l'autre ?", "Non répond Bernadette, on ferme les yeux et on saute ensemble". Denner saute et se tue, Bernadette, elle n'a jamais eu l'intention de sauter…

1972 - Le Fouet qui ne laisse pas de trace

Le film : Dany, la ravageuse (1972)

Le réalisateur : Willy Rozier

La scène : Le film comporte une scène de flagellation au nerf de bœuf et le gars qui la fouette y va à la volée, au bout de cinq minutes de ce traitement notre héroïne à poil (Sandra Juline) n'a pas l'ombre d'une marque sur la peau et consent juste à s'évanouir un petit peu.

1972 - On a perdu une feuile du scénario !

Le film : Un flic (1972)

Le réalisateur : Jean-Pierre Melville (1972)

La scène :  L'un des quatre gangsters est arrêté, c'est un dur qui refuse de donner le nom de ses complices. Delon lui répond qu'il est prêt à parier qu'il les donnera. Plan suivant, Delon se rend chez un des complices, on ne saura jamais comment l'autre a parlé ! Faut peut-être pas confondre ellipses et trou de gruyère !

1971 - Le pire nanar

Le film : Dracula contre Frankenstein (1971)
Un tissu d'ânerie empilées les une sur les autres, tout est mauvais, acteurs, scénario, éclairage, mais on se consolera avec la présence de Regina Cerrol, la femme et égérie du réalisateur

1971 - La plus belle prostituée dans un western

Le film : Doc Holliday

Le réalisateur : frank Perry

La scène : Kate Elder, une prostituée joué par Faye Dunaway, est en train de s'amuser avec un client dans un saloon, Doc Holliday arrive la joue aux cartes et la gagne ! Et ça deviendra une hsitoire damour !

1969 - Le striptease le plus fou

Le film : La sirène du Mississippi (1969) 
Le réalisateur : François Truffaut
La scène : La voiture conduite par Belmondo s'arrête au bord de la route, Deneuve dit qu'elle a chaud et enlève son haut, elle n'a rien en dessous, un automobiliste la voit et se plante sur le bas côté !

1969 - Le gilet pare-balle qui rend invincible

Le film : Le spécialiste (1969)
le réalisateur : Sergio Corbucci

La scène : A la fin de ce mauvais western, Johnny Hallyday est gravement blessé, mais il va quand même affronter quatre jeunes hippies égarés au Far-West qui tirent sur tout ce qui bouge. Les mecs tirent sans discontinuer sur Hallyday qui a un gilet pare-balles (un bel anachronisme). il finissent par se sauver en courant en criant : "Oulala, ce mec est invincible !". L'idée de tirer dans la tête ou dans les jambes ne les a pas effleuré une seule seconde !

1969 - L'envahisseuse extraterrestre la plus sexy

Le film : Zeta one
Le réalisateur : Michael Cort
Le thème : Les nanas de la planète Angvie manquent de femelles reproductrices, elles viennent faire leurs courses sur Terre. Sur la photo c'est l'actrice danoise Yutte Stensgaard !

1968 - La plus belle faute de scénario

Le film  : La planète des singes  (1968)
Le réalisateur : Franklin Schaffner
La scène : Premier contact avec les singes : Quelle erreur monumentale ! Croyant se trouver sur une planète étrangère (Ce n'est qu'au cours des tous derniers plans que nous apprendrons en même temps que le héros qu'il s'agit de la Terre, vieillie de plusieurs siècles) Charlton Heston n'est absolument pas étonné que les singes qui l'habitent parle l'anglais de façon très correcte et absolument contemporaine.

1968 - Une pendaison stressante

Le film : Pendez-les haut et court (1968)

Le réalisateur : Ted Post
La scène : On se presse pour venir assister à une pendaison publique, c'est un spectacle ! Des centaines de personnes, des vendeurs de limonades, les papas qui portent les gosses sur leurs épaules pour mieux voir, les femmes qui piaillent, le pasteur qui fait son prêchi-prêcha et qui fait chanter ses ouailles, puis la longue montée vers l'échafaud, le bourreau qui demande les dernières volontés aux condamnées, certains sont courageux, voire cynique, d'autres craquent. Ils ont tous leur cagoule sur la tête, le bourreau va libérer les trappes. On attend un miracle, on se demande ce que fait Clint Eastwood, mais il a choisi de se désintéresser du "spectacle" et est parti faire l'amour avec une prostituée. La trappe se libère, un cri, c'est terminé ! Effrayant !

1968 - Monstre en toc et pudeur avant tour

Le film : Brides of blood (1968)

Les réalisateurs : Eddie Romero et Gerardo de Leon
La scène : Non seulement le montre est l'un des plus grotesque de l'histoire du cinéma, mais une scène vaut son pesant de cacahuettes : La belle Alma est attachée nue à un poteau pour être sacrifié au monstre. Le bellâtre de service vient la sauver mais avant de la détacher il prend bien soin de lui cacher sa nudité. C'est ce qui s'appelle avoir le sens des priorités.

1967 - La plus inattendue

Le film : Le dimanche de la vie (1967)
Le réalisateur : Jean Herman

La scène : Danielle Darrieux joue le rôle d'une mercière qui exerce clandestinement le métier de voyante en notant tous les ragots rapporté par son mari lors de conversations de magasin. Cette scène forme un véritable sketch dans lequel Darrieux nous fait une superbe voyante vénale voilée débitant ses visions avec un accent russe. ase tordre de rire !

1966 - La plus stupide

Le film : Red line 7000 (1966)
Le réalisateur : Howard Hawks (l'un des chouchous des "Cahiers du cinéma")
La scène : Dans ce nanar affligeant, on a du mal à s'intéresser à quelque chose, sinon à constater que les rivalités (sportives et/ou sentimentales) entre bellâtres conducteurs de voitures (vroum, vroum...) vont bon train. Soudain le spectateur est pétrifié par la scène suivante d'une rare intensité dramatique :
A est peinard chez lui, mais voilà que l'on sonne à sa porte. A va ouvrir et découvre B sur le pas de la porte. Aucun dialogue ne s'engage mais A fout un pain magistral dans la tronche de B.
B ne s'écroule même pas sous le choc d'une violence inouï, son visage est d'ailleurs intact, il se frotte simplement la face et déclare à A :
- Merci j'étais venu pour ça !
(et ce n'est pas un film comique !)

1965 - La plus belle scène de Cabaret

Le film : Sherlock Homes contre Jack l'éventreur (1965)
Le réalisateur : James Hill
La scène : Dans un cabaret mal famé de Whitechapell, (l'Angel Crown), Georgia Brown interprète "Tararaboum di_hay" avec une gouaille et une énergie qui font plaisir à voir ! Un délice !

1965 - Le dollar le plus magique

Le film : le dollar troué (1965)

Le réalisateur : Georgio Ferroni (1965) avec Giuliano Gemma.
L'énigme : Giuliano Gemma se fait tirer dessus en plein cœur, il survit grâce à une pièce d'un dollar placée au bon endroit. La pièce est complètement trouée : Question ? Où est donc passée la balle ?

1965 - Le couple diabolique qui vient de l'espace

Le film : Frankenstein meet the space monster

Le réalisateur Robert Gaffney

Leur planète étant détruite, Une princesse extraterrestre, son commandant et quelques troufions, viennent sur terre pour capturer des femmes à fertiliser. La princesse Marcuzan interprétée par la très belle playmate Marilyn Hanold, dans un collants super moulant et le commandant Nadir, la main de la reine, personnage sournois bien décrit joué par Lou Cutell, et dont les oreilles pointus ont du inspirer les créateurs de Star-Trek

1964 - Annie Girardot en femme à barbe et en nuisette transparente

Le film : Le mari de la femme à barbe (1964)
Le réalisateur : Marco Ferrerri
La scène : Un impresario parisien a engagé Ugo Tognazzi et sa femme (à barbe) pour un numéro de music-hall érotique dans lequel elle doit tuer son chasseur

1962 - La plus belle des fantômettes

Le film : Le carnaval des âmes (1962)
Le réalisateur : Herk Harvey

Le sujet : Mary est une fantomette, ce dont on se doute dès le début, ce qui fait qu'il n'y a aucun suspense, et plus c'est très mou, mais l'actrice , Candace Hilligoss illumine le film de sa beauté !

1961 - Les monstres le plus ridicule

Le film : La Créature de la mer hantée   (1961)
Le réalisateur : Roger Corman

La scène : Dans ce très mauvais film, des gangsters aident des contre-révolutionnaire cubains à sortir un trésor de guerre, voulant se débarrasser les militaires, les gangsters simule l'existence d'un monstre marin, mais voilà qu'un vrai montre apparaît et il n'est pas commode. Sur la photo on voit un faux Humphrey Bogart embrasser la belle Betsy Jones-Moreland

Le film : La planète fantôme (1961)
Le réalisateur : William Marshall
La scène : Retenu sur Rhéton, le héros de l'histoire découvre un prisonnier Solarite très sexy...

 1960 - Les miracles de la linguistique

Le film  : La machine à explorer le temps  (1960)
Le réalisateur : Georges Pal
Donc Rod Taylor se pointe en l'an 802 701 ! Depuis tout ce temps l'anglais n'a pas évolué d'un iota et les gens (qui ont pourtant oublié toute culture) parlent exactement le même anglais qu'au XXème siècle !


1959 - Le film que Tim Burton, il a dit que c'était le plus nul de l'histoire du cinéma

Le film : Plan 9 from Outer Space
Le réalisateur :  Ed Wood
Les scènes : Un enterrement en pleine nuit, une nana surprise par un inconnu chez elle et qui ne trouve rien de mieux que de se réfugier dans un cimetière où il y a déjà eu une mort mystérieuse.... et plein d'autres choses encore, mais heureusement il y a Maila Nurmi en vampirette

1959 - Prostitution insolite

Le film : Vous n'avez rien à déclarer ? (1959)
Le réalisateur : Clément Duhour
La scène : Madeleine Lebeau, prostitué de lux reçoit Jean Poiret pour lui faire une passe... et lui propose de se mettre... en pyjama !

1959 - Un désintégrateur super performant

Le film : Teenagers from Outer Space (Invasion martienne) (1959)
Le réalisateur :Tom Graeff
Dans cet incroyable nanar le vilain extraterrestre pose des questions à la balle Sonia Torgeson qui fait trempette tranquilou dans sa piscine, comme elle refuse de répondre, il la désintègre aussi sec !

1959 - L'extraterrestre le plus poilu

Le film : Terror in the Midnight Sun (1959) 
Le réalisateur : Virgil W. Vogel
Il fait 4 mètres de haut et il n'est pas beau !

1959 - Une séquence d'un réalisme terrifiant

Le film : Les derniers jours de Pompei (1959)
Les réalisateurs : Mario Bonnard et Sergio Leone

La scène : Regardez bien la photo, que font ces dames (à droite Christine Kaufmann) ? Elle attendent le bus ? Elles posent pour une photo souvenir ? Ben non pas du tout, figurez-vous qu'en face d'elles il y un lion très féroce et très affamé qui s'apprête à les bouffer ! On ne peut être que subjugué par l'expression de terreur sur le visage de ces deux jeunes femmes. Par curiosité on aimerait savoir qui de Bonnard ou de Leone a dirigé les actrices de cette façon ?

1958 - Un duel expéditif au pistolet

Le film : L'homme de l'Ouest (1958)
Le réalisateur : Anthony Mann
La scène : Gary Cooper vient au cours d'un très long duel de liquider les deux derniers bandits de la bande, il ne reste que le chef et on s'attend à un nouveau duel dans les collines rocheuses. En fait ça ne dure que trois minutes, le chef de bande ayant tout perdu se suicide sous les balles de Gary Cooper avant de faire un interminable rouler-bouler jusqu'en bas de la colline.

1958 - Les obsèques les plus grandioses

Le film : Les Vikings (1958)
Le réalisateur : Richard Fleischer
La scène : Le film se termine par l'incinération de Kirk Douglas sur son drakkar, le chef Viking ayant succombé à son duel avec Tony Curtis (Kirk Douglas adorait mourir au cinéma !)

1957 - L'erreur de la mouche du coche

Le film : The Cosmic Man (1957)
Le réalisateur : Herbert S. Greene
La scène : Dans ce film de science fiction horriblement mal foutu, Bruce Bennett incarne un physicien de très haut niveau, même que c'est lui qu'on va chercher quand un extra terrestre viens se poser aux Etats-Unis. Bennett échafaude des hypothèses avec son assistant, et soudain il a un trou de mémoire,. Figurez-vous qu'il ne se rappelle plus de la vitesse de la lumière, et son assistant sèche également... Qu'à cela ne tienne, l'insupportable marmot qui les écoutait parler intervient pour donner la réponse (voir l'image), Il demandera après "C'est ça ?" et le grand scientifique d'approuver : "C'est ça !"


Bof 300.000 mètres ou 300.000 kilomètres après tout c'est a peu près pareil !

1957 - Coup de foudre pour un bandit

Le film : 3 h 10 pour Yuma (1957)
Le réalisateur : Delmer Daves
La scène : Glenn Ford, un chef de bande qui vient de piller une diligence et d'en tueur le conducteur qui tentanti de riposter, s'attarde dans le saloon d'une ville voisine et flirte avec la serveuse qui tombe sous son charme et le restera malgré son arrestation quelques minutes plus tard. Les yeux amoureux de Félicia Farr sont superbement photographiés.

1954 - La martienne la plus troublante

Le film : Devil firl from Mars (La Martienne Diabolique)

Le réalisateur : David MacDonald
Sur Mars les féministes ont éliminé tous les mâles (c'est malin !) Se rendant compte que ce n'est pas trop pratiques pour perpétuer la race, elles envoie Nyah (Patricia Laffan) sur terre pour faire une petite cueillette.

1954 - La plus belle prostituée dans un western

Le film : Quatre étranges cavaliers
Le réalisateur : Allan Dwan
Le jour de son mariage, le héros est accusé par un faux marshal d'un crime qu'il n'a pas commis. La foule le soutient avant de se retourner contre lui. Dolly, la belle prostituée qui fut sa maîtresse, n'est pas rancunière du tout, elle le sauvera une première fois de la foule en le cachant dans son plafond, et une seconde fois avec l'aide de la future épouse de héros en brandissant un faux télégramme. Elle s'appelait Dolores Moran et était la femme du producteur du film Benedict Bogeaus.

1954 - La secrétaire de direction la plus troublante

Le film : La rafle est pour ce soir
Le réalisateur : Maurice Dekobra
La scène : C'est un film composé de 4 sketchs. 3 sont moyens voire médiocres, mais celui intitulé "Le roi du sex-appeal vaut son pesant de cacahuètes de par son humour et son amoralité assumée. Mortimer Choom, interprété par Grégoire Asslan, sorte de clone de Groucho Marx est assisté d'une des secrétaires de direction les plus sexy de l'histoire du cinéma (n'ayons pas peur des mots) avec voix lancinante, poses lascives et haut super moulant (à ce point que c'est elle qu'on voit sur l'affiche du film malgré son petit rôle). L'affiche est par ailleurs mensongère puisque la belle représenté en prostituée de rue, ce qui n'est pas le cas dans le film. son nom : Isabelle Eber, la pauvre est aujourd'hui complètement oubliée.

1954 - La plus burlesque

Le film : Ah ! Les belles bacchantes (1954)
Le réalisateur : Jean Loubignac
La scène : Film fauché, mal filmé, et réalisé n'importe comment, il est près de 60 ans après sa sortie toujours aussi hors norme. Un policier, l'inspecteur Leboeuf, premier véritable rôle de Louis de Funès enquête sur la moralité d'une troupe de théâtre, en l'occurrence la troupe des branquignoles emmené par Robert Dhéry. Des grands et des moins grands acteurs de l'époque (Raymond Bussières, Francis Blanche, Jacques Legras) évoluent au milieu de pin-up aux seins nus dans une succession de numéros les plus volontairement ringards les uns que les autres.
Le clou du spectacle étant la troupe interprétant " la Léopolda ", mais ça ne se raconte pas !

1954 - La plus roublarde

Le film : Johnny Guitar (1954)
Le réalisateur : Nicolas Ray
La scène : Joan Crawford va être pendue. Elle est courageuse mais n'en mène pas large. On ne sait pas trop comment, au moment où le canasson sur lequel elle trônait est prié de dégager afin de la pendre pour de bon, la voilà qui retombe sur un deuxième bourrin. On nous a fait comprendre entre temps que la corde avait été préalablement coupé par Sterling Hayden. Complètement improbable, mais on est content quand même...

1954 - Un robot phallique

Le film : GOG
Le réalisateur : Herbert L. Strock
La scène : Dans ce film très sérieux, barbant, prétentieux et stupide, le maquettiste facétieux a ajouté un appendice phallique à l'un de robots du récits. Private joke ou travail de l'inconscient ? Allez savoir

1954 - Trois hommes à tuer, je ne vais jamais m'en rappeller !

Le film : La sirène de Baton Rouge (Natchez) (1954)
Le réalisatur : Henry Levin
La scène : Robertson à trois hommes à tuer, pour ne pas en oublier il inscrit leur noms sur une carte à jouer et quand ils sont éliminés il déchire le morceau de la carte où était le nom. 100 ans plus tard on inventait le post-il, c'est quand même plus pratique !

1954 - fabrication du vin ultra rapide

Le film : Ulysse
Le réalisteur Mario Camerini 1954
La scène : On nous montre qu'il suffit de piétiner du raisin pour avoir instantanément un bon pinard alcoolisé, le cyclope ne sait pas ce qu'est le vin, mais possède un pressoir à pieds avec une fontaine et des outres

1954 - la baffe qui fait du bien

Le film : Je dois tuer (1954)
Le réalisateur : Lewis Allen
La scène : Dans ce nanar réac et stupide (mais sauvé par la présence Frank Sinatra) , un sale gosse, sans doute dans le genre de ce qu'on a fait de pire au cinéma défie Frank Sinatra (qui est là pour assassiner le président des Etats-Unis). Enervé, Sinatra lui flanque une mandale qui envoie le gosse par terre. Jouissif !

1953 - Le préchi-précha le plus improbable

Le film : Minuit, quai de Bercy (1953)  

Le réalisateur :Christian Stengel

Le scène : Dans ce film policier fort médiocre, Eric Von Stroheim tient le rôle d'un prédicateur fanatique tout vêtu de noir. Il entre tranquilou dans un cabaret où l'on donne un spectacle de strip-tease et là, il se livre à un prêche pendant cinq longues minutes, tout le monde l'écoute en silence et même avec une certaine crainte, personne ne l'envoie promener, personne ne le chasse. C'est n'importe quoi !

1953 - La moins racontable...

Le film : Les Vacances de Monsieur Hulot  (1953)
Le réalisateur : Jacques Tati
La scène : Monsieur Hulot (Jacques Tati) en redresseur de torts moraliste s'en prend à un voyeur de cabines de la plage en lui bottant le cul... c'est censé faire rire....

1953 - Le trucage le plus fauché

Le film : Le météore de la nuit (1953)

Le réalisateur : Jack Arnold

La scène : Une boule de Noël avec sa ficelle ! En fait le responsable des effets spéciaux n'a rien trouvé de mieux pour figurer un vaisseau spatial arrivant en trombe sur la Terre. On voit ça dans les tout premiers plan du film, autant dire que ça commençait bien mal, mais en fait le film vaut mieux que ça et se révélée intéressant et plutôt intelligent.

1952 - Le duel le plus long à l'épée

Le film : Scaramouche (1952)
Le réalisateur : Georges Sidney
La scène : Le combat entre Stewart Granger et Mel Ferrer dure bien 7 minutes, on ne les voit pas passer, le duel se déroulant dans un théâtre, tout y est utilisé, les coulisses, les loges, les fauteuils d'orchestre, les entrepôts... Dommage que le réalisateur se soit cru obligé de nous imposer l'un des poncifs les plus ridicules du genre, celui où le gentil rend son épée au méchant, mais bon, ne boudons pas notre plaisir, et il est grand !

1952 - Le baiser du gorille

Le film : Le Gorille de Brooklyn
Le réalisateur : William Beaudine
La scène : Dans ce nanar en partie sauvée par la présence de la belle Charita, son petit mai est transformé en gorille par le méchant Bela Lugosi. La transformation est irreversible mais Charita, bonne fille lui fait un gros bisous

1952 - Adultère insolite

Le film Coiffeur pour dames
Le réalisateur : Jean Boyer
La scène : Quand vous trompez votre femme pendant une petite heure, vous mettez un pyjama, vous ? Ben Fernandel, lui,  il en met un !

1951 - La déclaration d'amour la plus surprenante

Le film  : African Queen (1951)
Le réalisateur : John Huston
La scène : Superbe film ou une vielle fille (Katharine Hepburn) tombe amoureuse d'un aventurier paumé (Humphrey Bogart) sur un bateau ou ils sont seuls tous les deux. Le jeu psychologique entre les deux personnages est très bien rendu, et au moment où on s'y attend le moins la fille finira par appeler Bogart, " Chéri ! "

1951- La bondieuserie la plus débile

Le film : Messaline (1951)
Le réalisateur : Carmine Gallone
La scène : Pendant les jeux du cirque, une dizaine de prisonniers vont être livrés aux lions, parmi elles une chrétienne exaltée qui en 40 secondes chrono va convertir la fiancée d'une des victimes. Cette dernière se précipite alors dans l'arène (pleine de lions) devant son fiancé attaché, et se met à psalmodier en posant ses bras en croix. Du coup le réalisateur fait tourner sa bobine à l'envers et on voit les lions reculer. Au second degré il y a de quoi attraper le fou-rire.

1949 - Le Tarzan le plus improbable

Le film : Je n'aime que toi (1949)
Le réalisateur :  Pierre Montazel (
La scène : Luis Mariano sur scène se prend pour Tarzan et chante en petit tutu. Mérite de figurer dans l'anthologie du grand n'importe quoi,

1946 - La plus marrante

Le film : Une Nuit à Casablanca (1946)
Le réalisateur : Archie Mayo et les Marx Brothers
La scène : Le film vient tout juste de démarrer, Harpo Marx est dans la rue, un de ses bras est tendu et sa main est appuyé contre un mur. Arrive un flic qui n'apprécie pas la présence d'Harpo en cet endroit :
- Vous faites quoi ? Vous tenez le mur ? Vous avez peur qu'il tombe ?
Harpo (qui rappelons le, joue en muet) répond oui de la tête.
Alors le flic emmène Harpo, qui du coup est obligé de lâcher le mur... qui s'écroule !

1946 - Le syndrome de Stockholm à l'envers

Le film : Le sexe fort (1946)
Le réalisateur : Emilio Gómez Muriel

Le scène : Dans ce film d'anticipation mexicain , l'île de Sibila est gouverné par les femmes et les hommes n'ont aucun droit. Deux naufragés vont débarquer sur l'Île et la la jolie reine Eva XLV interprétée par Mapy Cortes va tomber amoureuse du beau prisonnier

1944 - La plus belle transparence

Le film : The Woman in the window (la femme au portrait)
le réalisateur : Fritz Lang (1944)
La scène : Regadez donc la photo ! Joan Bennett y est sublime

1940 - L'un des plus beaux sourires du cinéma

Le film : La Maison aux sept pignons (1940)
Le réalisateur : Joe May (1940) avec George Sanders, Vincent Price, Margaret Lindsay.
Margaret Lindsay quelle surprise de voir jouer une si bonne et si belle actrice, elle nous offre son magnifique sourire en début de film avant de le perdre mais en restant digne.


1940 - Des nénés chez Walt Disney !

Le film : Fantasia (1940)
Le producteur : Walt Disney
Dans Fantasia, certains des concepteurs se sont lachés, c'est ainsi que l'on peut voir dans la Pastorale de Beethoven, quelques mingnoesn centaurettes toplesse, et quelques sorcières criardes dans la"Nut sur le mont Chauve" !Sacré Walt Disney

!

1938 - Le plus beau gag de Stan Laurel

Le film :Les montagnards sont là (1938)
le réalisateur : John B. Blystone
La scène : Laurel plume un poulet blanc a côté d'un Saint Bernard qui a un tonnelet de rhum à son cou, Laurel cherche à prendre le tonneau mais le Saint Bernard ne se laisse pas faire malgré plusieurs tentatives. Laurel essaie de ruser et se couche au sol en réclamant de l'aide, le chien s'en fiche complètement et va se nicher. Laurel a alors l'idée géniale de balancer en l'air le duvet du poulet qui du coup imite la neige, il se recouche, le chien vient sur lui et Laurel peut enfin boire le contenu du tonnelet jusqu'à l'ivresse.

1936 - Une chanson en yaourt

Le film : Les temps modernes (1936)
Le réalisateur : Charlie Chaplin
La scène : Charlot a trouvé un travail de serveur dans un restaurant. Le patron lui demande de chanter une chanson, les paroles, lui ont été écrites sur ses manchettes de chemises.. qu'il perd. Il interprète donc la chanson en yaourt (en fait un mélange sans queue ni tête de mots français et italiens (Se bella ciu satore, Je notre so cafore, Je notre si cavore, Je la tu, la ti, la tua...) cette chanson a été adapté en français sou le titre "Je cherche après Titine")

1935 - Affiche subliminale

Le dessin animé : Betty and Grampy
Le réalisateur : Dave Felisher
L'affiche : Cette affichette d'un dessin animé de 7 minutes de 1935 réalisé par Dave Fleischer (Betty Boop et Grampy), n'est pas un montage ! Il faut sans doute être un esprit pervers comme moi pour se demander ce que fabrique Betty Boop avec sa main gauche ! En tous les cas Grampy à l'air absolument ravi !

1931 - L'exécution inoubliable

Le film : Agent X 27 (1931)
Le réalisateur : Josef von Sternberg

 La scène : Marlene Dietrich va être fusillée à l'aube pour haute trahison, elle demande à revêtir ses plus beaux habits de prostituée. Quand on vient la chercher elle met un dernier soin à son maquillage et demande un miroir au garde qui l'escorte, il lui tend alors son sabre dans lequel elle peut se mirer, satisfaite elle se met en position et refuse qu'on lui bande les yeux. Même pas triste tellement c'est sublime

1931 - Une des plus belles parties de cartes

Le film : Marius  (1931)
Les réalisateurs : Alexandre Korda et Marcel Pagnol - 1931)
Pour l'immortelle scène entre Raimu (César) et les personnages de Panisse, d'Escartefigue et de Monsieur Brun) 
(détail ici)

1930 - L'un des premiers baisers lesbiens

Le film : Morocco (Coeurs brulés - 1930)
Le réalisateur : Josef von Sternberg
La scène : Amy Jolly (Marlene Dietrich)) passe dans le public, à une table un homme dans un groupe lui propose une coupe de champagne, elle accepte, la boit sans s'asseoir, puis va s'emparer d'une fleur dans les cheveux d'une belle spectatrice attablée et l'embrasse sur la bouche pour l'en remercier. Il s'agit donc très probablement d'un des premiers baisers lesbien du cinéma d'exploitation.

1920 - Erotisme rétro

Le film : La maison démontable- 1920
Le réalisateur : Buster Kaeton
La scène : Sybil Seely a perdu sa savonnette !

1909 - Que tient-elle dans sa main ?

Le film : Le baromètre de la fidélité (1909)
Le réalisateur : Max Linder (ou Georges Monca)
La scène :  Que tient Jane Marnac dans ses mains ? Ben le fameux baromètre tout simplement ! Vous pensiez à quoi ?

Le dessin animé immortel

Tout les Tex Avery


excellent
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bof...
mauvais
nul