1) Petit florilège de réactions de spectateurs qui rouspètent ou qui divaguent
mais qui auraient sans doute mieux fait de se taire : (les étoiles sont les miennes, pas celles des rouspéteurs, ni des critiques complaisants) , en principe les fautes d'orthographes et de grammaires sont garanties d'origine

Spaceman
Un film de Johan Renck (2024)
Spaceman met le public au défi d’affronter ses propres démons et d’accepter le pouvoir curatif de la connexion, même dans les circonstances les plus improbables. C'est cela... oui...)

La Maison
Un film de Anissa Bonnefont (2022)
Ana n’aurait jamais dû tourner ce qui est un porno, par respect de son mari, son enfant et ses parents. Elle s’est compromise dans ce machin immonde, mal ficelé où elle a offert à la planète entière son intimité et son anatomie. Quel gâchis ! Décidemment, il n’y a donc que la nudité et le sexe qui attirent en monde perverti où la perte de valeurs telles que le respect de soi, la dignité et la pudeur sont foulées au pied. Il y en a plusieurs dans le même genre émanant de gens qui sont allés voir le film en toutes connaissance de cause et qui nous joue les tartuffes ou de gens qui jugent le film sans l'avoir vu

Contrecoups

Un film de Charlie McDowell (2022)
Il est destiner (sic) à un public intellectuel, qui sera (sic) déchiffrer les subtilités cachés (sic). Pour ma par (sic) bien que j'adore les films d'actions, j'ai su reconnaitre la valeur de ce film. Sans commentaires !

Scary Stories
Un film de André Øvredal (2019)
Un choc pour moi, j'étais scotché à mon siège. Je suis resté 3 jours inanimé dans la salle à la fin. Et les pompiers ont finit par arriver ?

GameOver, Man !
Un film de Kyle Newacheck (2018)
Ce film est un signe de la fin des temps. Je n'ai jamais vu autant de scènes dégradantes dans un film le scénario est plat si c'est à ce genre de film que se fie nos enfants on court tout droit à la perte de l'humanité. Carrément !
une autre :
Pourquoi montrer des pénis ? vous croyez que ça rend plus intelligent ? Ce pourrait faire l'objet d'une dissertation philosophique

Mute

Un film de Duncan Jones (2018)

Ce film normalise la pédophilie et le sexisme. Le scénario est lent et très mal développé. C'est juste une énième film qui n'aurait pas dû être réalisé. Jugement préformaté d'une féministe qui n'a pas tout compris au film (c'est le cas de le dire)

La forme de l'eau
Un film de Guillermo del Toro (2017)
Cette réécriture de "Sauvez Willy" avec la zoophilie en bonus, est une pure perte de temps. Quelle ouverture d'esprit !

A Ghost story
Un film de David Lowery (2017)
Le film est assez intéressant sur la forme également avec un format carré arrondi sur les bords. Chacun trouve son plaisir où il veut, chacun trouve du génie ou de l'intérêt ou il veut, mais bon...

21 nuits avec Pattie

Un film d'Arnaud et Jean-Marie Larrieu (2015)
Le cadavre n'a ni la couleur verdâtre ni la raideur normale pour être un personnage crédible. Oui, dans les films de zombies c'est pareil !
une autre
A la deuxième confession de Karine Viard, je suis sortie de la salle, je ne vais pas au cinéma pour entendre des descriptions pornos. La décadence est décidemment bien en marche.. Sans commentaires !

Frankenstein  
Un film de Bernard Rose (2015)
Le film montre nettement le danger qu'il y a de manipuler les cellules souches  A force de voir des messages là où il en a pas...

A trois on y va

Un film de Jérôme Bonell (2015)
Un film de plus sur le vice...  (un coincé de chez Allo-ciné en pleine forme)

Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?
Un film de Philippe de Chauveron (2014)

"C'est plus marrant que si ça ne l'était pas" (et à l'extérieur c'était plus mouillé que s'il ne pleuvait pas !)
"Propagande politique anti blanche, anti catho, pro mixité, métissage obligatoire. Un film de manipulation des masses dans une France en ruine. A vomir" (réaction d'un vrai facho qui a vu ce mauvais film avec des lunettes déformantes)
"c'est chef d'oeuvre, sur le thème de le mariage mixte, super comédie, très bon film,les personnage de les parents de famille verneuil joue par(r et ) mais pas gagner la fille sa marie le homme sont pas même les couleur d'peau et encore pas le catholicisme (sauf le dernier) et merci l'amour pas frontière, et mais une rencontre amour avec et sans les religions différentes même les couleur d'peau des aimes toujours, les scénario du film sont très bien, les acteur et les humoriste sont bien joue,les musique c'est bien et etc... ce film ayant le succès puis le millions à aller voir de fillm c'est cool !!!!!! conseille allez voir le film c'est chef d'oeuvre." (l'orthographe est garantie d'origine...)
"Excellente comédie française. Je pense que tout le monde est d'accord avec moi." (Non, non !)
"Ce film, en plus d'être peu drôle, est un monument d’hypocrisie. Les "étrangers" sont tous de bon milieux sociaux, ne respectent pas les préceptes alimentaires de leurs religions ni ne pratiquent leurs religions." (un arabe qui mange halal c'est louche mais un arabe qui ne mange pas halal c'est encore plus louche !)

La prochaine fois je viserai le cœur

Un film de Cédric Anger (2014)

Ce film a le mérite de nous alerter sur la dangerosité de faire de l'autostop seule

Noë
Un film de Darren Aronofsky (2014)
"Blasphématoire. Honteux. Une insulte. Navrant. A des années lumière du récit original. C de la propagande anti-créateur" (un lecteur d'Allo-ciné en pleine forme)
"Très bon film, mais malheureusement, les spectateurs aujourd'hui demandent des merdes de divertissement déconnectées de tout mythe et histoire sérieuse. Ce film n'est pas pour les imbéciles." (Noë serait donc une histoire sérieuse ?"

The Voices

Un film de Marjane Satrapi (2014) 
Le film est à caractère stigmatisant vis-à-vis des personnes atteintes de maladies et troubles psychiques, puisqu'il conforte manifestement les pires clichés qui semblent venir d'un autre âge (mais sont toujours d'actualité, en France notamment). Loin de dédiaboliser ces maladies qui touchent de nombreuses personnes en souffrance, le film ne fait qu'accentuer l'impression, erronée bien sûr, que ces malades seraient des êtres dangereux pour les autres et pour la société, ainsi que des attardés mentaux, ce qui là encore atteint à la dignité des personnes atteintes de déficiences intellectuelles, qui d'ailleurs est autre chose que la maladie mentale.

Alceste à bicyclette
Un film de Philippe Le Guay (2013) avec Fabrice Luchini
"Il n'est pas agréable de voir pendant 1 h et quelque un acteur mal rasé, mal habillé, mal coiffé dont on imagine facilement qu'il a mauvaise haleine." Parions que ce triste sire n'apprécia pas non plus "Le trésor de la Sierra Madré" ou "African Queen" !

Don Jon

Blanche neige (Mirror Mirror)
Un film de Tarsem Singh (2012) avec Julia Roberts
"Je trouve l’attitude de Blanche neige très discriminante. Pourquoi abandonner une douillette cabane (très écologique de surcroît) peuplée de personnes tout à fait charmantes pour se jeter dans les bras d’un grand dadais aseptisé." Ben parce que sinon il n'y aurait pas d'histoire, pardi !

Les adieux à la reine
Un film de Benoît Jacquot (2012)
Le fan club des adorateurs de Marie-Antoinette (si, si, ça existe !) est choqué : "Quant à la réputation de lesbienne faite à Marie-Antoinette et sur laquelle repose le film, elle trouve sa source dans les libelles de l'époque qui lui prêtaient généreusement tous les vices, autant dire dans les poubelles." Les nostalgiques de la monarchie et les contempteurs de l'homosexualité sont souvent les mêmes

Abraham Lincoln : Chasseur de Vampires  
Un film de Timour Bekmambetov (2012)
Alors, mettons tout de suite les choses au clair. Abraham Lincoln : Chasseur de Vampires n'est pas une représentation historique de la vie du célèbre homme politique.  Merci, c'est gentil de nous prévenir

Shame
Un film de Steve McQueen (2011)
Dans les 5 premières minutes, j'ai vu 3 fois le sexe du mec, et une fois celui d'une femme. J'ai crus que je m'étais trompé de film. Je veux bien qu'il soit sur le thème du sexe, mais inutile de faire dans le porno, on peut très bien imaginer. Encore un coincé de la braguette

Mr. Nice
Un film de Bernard Rose (2010)
"Indigeste parce qu'immoral. Que croyez-vous en portant à l'écran des biographies pareilles, que nos jeunes vont devenir ? Je déplore qu'il n'y ait plus de censure au cinéma. Ce film devrait être détruit." ! Carrément, le mec réclame des autodafés, comme les SS sous Hitler ou les gardes rouges de Mao Zedung. Quelles références !

Pièce montée  

Un film de Denys Granier-Deferre (2010) 

on assiste à un exposé des vices de la race humaine, passez votre chemin.. Ah, les moralistes, s'ils n'existaient pas, faudrait les inventer !

Indiana Jones et le crâne de cristal
Un film de  Steven Spielberg 2008
Le film est très décevant des autres. (!) Il a perdu de son originalité, et Harrison Ford n'est plus le jeune qu'il était avant. Donc, les aventures ne sont plus les mêmes, et c'est bien triste à dire. : Les acteurs ne devraient pas avoir le droit de vieillir... mais c'est vrai que le film n'est pas bon et est bien loin des trois premiers opus !

Sweeney Todd
Un film de Tim Burton (2008)
"Sombre et glauque, comme d'habitude chez Tim Burton, en plus ça n'arrête pas de chanter." :Faut peut-être qu'on lui explique ce qu'est une comédie musicale ?

La terreur du Loch Ness

Un film de Paul Ziller (2008)

Super morale sur la protection des animaux rares ou en voie de disparition. Le monsieur il ne veut pas qu'on tue les méchants plésiosaures !
 

Le serpent
Un film d'Eric Barbier (2007)

"Une honte d'avoir fait coucher Pierre Richard avec Olga Kurylenko. Ils ont 45 ans d'écart, c'est une incitation à la pédophilie"  ce qui est formidable avec les moralistes et les coincés de la culotte, c'est qu'ils ne connaissent même pas le sens ni la définition des mots qu'ils emploient !

Sa majesté minor
Un film de Jean-Jacques Annaud ( 2007)
Vincent Cassel ENCULANT UN ARBRE! Tout simplement gerbant. Un botaniste peut-il nous expliquer on se trouve l'anus d'un arbre !

Hollow Man 2
Un film de Claudio Fah (2006)
"Seul Christian Slater sort du lot car on ne le voit presque pas, étant donné qu'il est invisible pendant pratiquement tout le film." "L'homme invisible sort du lot", voilà qui pourrait faire un joli titre !

Charlie et la chocolaterie
Un film de Tim Burton (2005)
"Un chef d'entreprise a licencié le personnel de son usine pour importer une main d'oeuvre étrangère (gratuite apparemment, des ouvriers travaillant sous le nom d'"ooompah loompah"). Le fils d'un ouvrier au chômage, à la suite d'un concours, aura la chance de... visiter l'usine (!) chance qu'il préférera à une éventuelle capitalisation de son invitation qui pourrait nourrir sa famille pendant quelques années) puis, après avoir vu se faire exécuter (symboliquement) un par un des concurrents potentiels, se verra finalement octroyer la place de vice-président de l'usine (avec probablement un partage de bénéfice 50/50, et des actions) en pratiquant ce paradoxe du battant : "ne pas être compétitif, c'est être compétitif quand même". Après avoir cassé la maison des ouvriers avec un ascendeur qui vole, le PDG retrouvera son père dentiste et acceptera, après avoir hésité, de dîner à la table de pauvres. Je pense qu'il s'agit d'un conte (il n'est pas précise si ce type de chef d'entreprise existe réellement) et par conséquent ma note est très sévère car on n'en sait pas vraiment plus sur les responsabilités de la direction au sein de l'entreprise) Une analyse marxiste et décalé qui est moins idiote qu'elle en a l'air, mais tout de même très méchante pour ce film qui possède aussi d'indéniables qualités.

The descent
Un film de Neil Marshall (2005.)
Film qui se passe dans le noir en permanence donc peu de visibilité (faute d'orthographe d'origine)

Le fabuleux destin d'Amélie Poulain
Un film de Jean-Pierre Jeunet (2001)
"Ce qui ne m'a pas plu (écrit le spectateur choqué) : Nino Quincampoix n'avait pas besoin de travailler dans un sex-shop, la fête foraine, ok, mais pas un sex-shop. On regarde avec les gosses et puis soudain on voit des godes partout, ça devrait être interdit aux mineurs." Un autre écrit sans rire que ce film "n'est qu'une guimauve publicitaire sur fond de carte postale pétainiste"

Mulholland Drive
Un film de David Lynch (2001)
Ce film magnifique est construit comme un sablier, avec étranglement au milieu, et symétrie temporelle par rapport à l'objet/lieu d'inversion. Je comprends qu'on puisse n'y rien comprendre si l'on est un peu trop rationaliste et (malheureusement) fier de l'être, mais cela ne retire rien au film lui même qui est un pur régal". -- de plus, dire qu'"on se moque de nous" est un réflexe puéril et l'argument classique de l'anti-intellectualisme primaire.
Construction "critique" ultra classique : 1) on donne son opinion personnelle en la recouvrant d'un phrasé abscons - 2) on affirme que si les autres n'y comprennent rien c'est que ce sont des pauvres types et on répète le point 1 - 3) et on nous répète le point 2.

Le libertin
Un film de Gabriel Aghion (2000)
On se sent mal à l'aise pour les acteurs et actrices, obligés de s'humilier dans des scènes dont l'humour si graveleux mettrait mal à l'aise Max Pécas. A ce que je sache on a obligé personne !

Jeanne d'Arc
Un film de Luc Besson (1999) avec Mila Jovovich
Commentaire tout chaud d'un spectateur choqué  "Ce film montre une jeune femme névrotique qui n'a rien à voir avec la vraie Jeanne d'Arc. A grands renforts de dollars on insulte une fois de plus sa mémoire. Le plus mauvais film consacré à la sainte. "Parce que la vraie Jeanne d'Arc il la connaît lui ?

Tout sur ma mère
Un film de Pedro Almodovar (1999)
"Vulgaire à en vomir. C'est une histoire ridicule et un film totalement dégoûtant." A mon avis, le gars, il n'a pas aimé !

Jack Frost
Un film de Michael Cooney (1997)
Ce film n'est absolument pas réaliste (effectivement les bonhommes de neiges serial-killer c'est assez rare !)

UApollo 13
Un film de Ron Howard (1995)
"Scientifiquement impossible, cette vaste fumisterie est orchestré par Hollywood pour une masse ignorante et aliénée." Devons nous expliquer à ce crétin qu'il s'agit d'une histoire vraie ?!

Gazon Maudit
Un film de Josiane Balasko (1995)  avec Victoria Avril
"L’art et la manière de bousiller son couple en cent vingt minutes chrono. Ce film est une infâme merde. Mais en existe-t-il un autre qui dénonce de manière aussi crue et récurrente les ravages causés par l’homosexualité, la bisexualité et l’échangisme ?" Ou quand l'homophobie et la défense de l'ordre moral font écrire n'importe quoi...

Léon
Un film de Luc Besson (1994) avec Jean Reno et Nathalie Portman
"Débile, facho, pédophile. Et moche surtout, l'image est atroce, c'est sur le chef op' qu'il fallait se déchaîner Léon, pas sur le sympathique pochtron Gary Oldman !" Quand on veut tuer son chien...

Basic Instinct
Un film de Paul Verhoeven (1992) avec Saron Stone et Michael Douglas
"Le Q à Michael, les michtons à Sharon, voilà à quoi se résume ce "chef-d'oeuvre"..... Pauvre 7ème art.....  " Normal que ça ne plaise pas aux pisse-froid, mais pourquoi est-il allé le regarder ? (Et en plus il confond nichons et michetons !)

Dracula
Un film de Francis Ford Coppola (1992). Avec Winona Ryder, Anthony Hopkins, Keanu Reeves, Gary Oldman.

C'est pas que j'aime pas, c'est que c'est vraiment à chier, c'est comme ça, j'ai décidé. ! Ça c'est de la critique !

une autre
Quand au coté sexuel et ses nombreuses allusions, elles sont tout simplement hors propos et ridicules. Une véritable horreur ! Comme quoi, Tartuffe n'est pas près de mourir !

Cyrano de Bergerac
Un film de Jean-Paul Rappeneau  (1990)
"Si quelqu'un n'aime pas "Cyrano de Bergerac", qu'il parle maintenant ou se taise à jamais. Là, il y a un consensus positif qui serait presque louche, si ce texte ne le méritait pas...". C'est ce qui s'appelle une leçon de tolérance !

Pretty Woman
Un film de Garry Marshall (1990) avec Julia Roberts
"Apologie de l'argent et du matérialisme, cette calamité aura contribué à façonner une génération de filles vénales et cupides. Berk".
une autre :
 "Une glorification honteuse de la prostitution ! vraiment dégoûtant." Les putophobes sont amusants, non seulement ils n'aiment pas le film (ce qui est leur droit), mais ils se croient obligés de manifester leur dégoût, ce doit être pathologique !
 

Indiana Jones et la dernière croisade

Un film de Steven Spielberg (1989) avec Harrison Ford, Sean Connery.

C'est tellement improbable qu'on a vraiment du mal à y croire.. Encore un qui n'a pas compris ce que c'était que le cinéma !

Rendez-vous
Un film d'André Téchiné (1985) avec Juliette Binoche
La jeune Juliette Binoche devient un objet érotique dans tous les angles du terme, ça en devient assez gênant car cet exhibitionnisme rend le film presque vulgaire.  La tartuferie se porte bien !
une autre
Binoche devrait remettre ses vêtements elle n'avait aucun intérêt à les enlever surtout dans cette histoire... Et encore un coincé ! Un !

Elle voit des nains partout

Un film de Jean-Claude Sussfeld (1982) avec Zabou
Ce film est grotesque et même érotique. Vraiment d'éconseillé (sic) pour ne pas gâcher votre soirée ! J'aime bien le "grotesque et même érotique", le d-apostrophe du verbe déconseiller n'est pas mal non plus
 

Excalibur

Un film de John Boorman (1981) avec Helen Mirren
Le seul reproche que je peux faire à la mise en scène, porte sur les scènes d'amour. Elles sont trop brutales et trop crues. Je sais que l'époque n'était pas aussi prude qu'aujourd'hui, mais la nudité pouvait être filmée avec beaucoup plus d'érotisme et de beauté, de plus, les chevaliers n'étaient pas obligés de se comporter comme des chiens en rut avec leurs amantes. Je crois que le monsieur, il n'a pas tout compris, Boorman montre justement (du moins dans la première partie du film) le vrai visage de la chevalerie : des loubards en armure !
 

Les Aventuriers de l'arche perdue

Un film de Steven Spielberg, (1981) avec Harrison Ford et Karen Allen
Les dialogues et situations sont drôles, mais l'action, périmée. C'est pour les bébés. C'est quoi une action périmée ?

La soupe aux choux

Un film de Jean Girault (1981) avec Louis de Funès, Jean Carmet et Jaques Villeret.
On passe un très agréable moment et on se laisse entraîner par cette histoire rocambolesque et loufoque qui en plus d'être drôle se veut une fable écologique et anti-modernisme. Faut peut-être arrêter de de mettre des filtres écologiques partout ! D'autant que le fait de péter produit du méthane et que le méthane participe à l'effet de serre.

Alien

Un film de Ridley Scott (1979) avec Sigourney Weaver

La scène (du chat) est peut-être magnifique, mais elle est complètement débile, c'est ça le petit hic. Ou alors la meuf qui part chercher le chat a un grave problème psychiatrique, elle est zoophile ou quelque chose comme ça, mais dans ce cas il fallait laisser des indices au début du film relatifs à sa maladie mentale nous mettant la puce à l'oreille.. On touche le fond de la connerie, là !

Mega Vixens (Up)
Un film de Russ Mayer (1976) avec Kitten Natividad et Raven De La Croix
"Sans doute le film porno le plus immonde que j'ai vu de toute mon existence. Le fait qu'il ait été tourné par un metteur en scène connu ne change rien et ne lui pas un air de respectabilité et n'en fait pas un film "intellectuel". Ici, la pornographie la plus primaire se complique de cruauté gratuite, sadisme, etc... Rien n'est à sauver, même les actrices qui ont toutes des poitrines énormes. A réserver aux malades sexuels." On a parfaitement le droit de ne pas aimer, mais de là à traiter ceux qui ont un avis différent de "malades sexuels", que voilà une belle manifestation d'intolérance !

The Rocky Horror Picture Show
Un film de Jim Sharman (1975) avec Tim Curry et Susan Sarandon.
"Le film est devenu culte chez une frange de marginaux,qui s'y reconnaît peut-être,mais pour la très grande majorité de la population, c'est du n'importe quoi ininterrompu,aux valeurs douteuses et repoussantes." Ou quand les coincés de la braguette implorent l'aide d'une majorité silencieuse imaginaire...
 

La honte la jungle

Un dessin animé de Picha (1975)
Je suis absolument contre ce genre de film, même pour les adultes. Il n'est pas saint de regarder des films avec des personnages obsédés de la bistouquette ! Et un coincé de la braguette ! Un !

Le parrain 2

Un film de Francis Ford Coppola (1974) avec Al Pacino, Robert de Niro, Diane Keaton, Robert Duvall...
Que l'embrassade finale entre Michaël et Fredo soit un signal de mort annoncé et que Coppola se serve de la prière de Marie (destinée en plus à la prise d'un inoffensif poisson) pour son exécution heurte ma conscience. La mafia ça passe, mais quand la mafia blasphème ça ne va plus du tout .

Contes immoraux

Un film érotique à sketches de Walerian Borowczyk  (1974) avec Fabrice Luchini, Lise Danvers, Charlotte Alexandra, Paloma Picasso, Pascale Christophe, Florence Bellamy
Un navet post-68tard qui tente de démontrer que la révolution sexuelle est le sommet de l'accomplissement humain puisque le désir et la perversion existe depuis tous temps et dans tous les milieux... Moui. J’appelle ça enfoncer les portes ouvertes. Mais pas n'importe lesquelles : celles de l'intimité. Oui, le désir et la perversion ont toujours existé sauf que les gens gardaient leur vie sexuelle pour eux.  Un Tartuffe dans toute sa splendeur

Les Valseuses
Un film de Bertrand Blier (1974)
Un film ridiculement provocateur qui n'a aucun sens et aucun intérêt. C'est juste l'histoire de deux connards, deux paumés essayant de faire jouir une fille qui ne sait pas jouir. Sérieusement, si vous trouvez ce genre d'histoire intéressante, vous êtes quelqu'un de vraiment bizarre. Ce n'est pas un film, mais une poubelle remplie d'ordures puantes. Un film pourri, débile et vulgaire. On est toujours le bizarre (ou le con) de quelqu'un

Le Parrain
Un film de Francis Ford Coppola (1972) avec Marlon Brando, Al Pacino
On voit du coton dans les joues du Vito Corléone, ça décrédibilise toutes les scènes où il apparaît  Les acteurs n'aurait donc pas le droit de se maquiller ?

Vampyros Lesbos

Un film Jess Franco (1971) avec Soledad Miranda et Ewa Strömberg
L'ennui ne parvient pas à nous réveiller En principe l'ennui ça ne fonctionne pas comme ça !
Une autre
A peine commencé que je vois des filles nues qui se trémoussent, par expérience j'accélère ce genre de film histoire d'abréger mes souffrances. Tartuffe et fier de l'être

Le genou de Claire
Un film d'Eric Rohmer (1970) avec Jean-Claude Brialy 
Cette œuvre est vivifiante, presque intolérante par son magnétisme. Les paysages sont somptueux, l’air est bon.  Si l'air est bon, tout va bien...

2001: l'odyssée de l'espace    
Un film de Stanley Kubrick (1968)

Kubrick montre dans "L'odyssée de l'espace" les valeurs de l'infini qui ont dépassés le cadre de la fiction pour faire du film-même, une valeur infinie. Ça ne veut absolument rien dire mais ça fait chic !

Le bon, la brute et le truand  

Un film de Sergio Leone (1966) avec Clint Eastwood, Eli Wallach et Lee Van Cleef.

Ce film ne ma pas plut car on apprend rien sur la vrai vie des coboyes.. Orthographe d'origine !

La Grande Vadrouille
Un film de Gérard Oury (1966) avec Bourvil et Louis de Funès
Oury, et via ses acteurs, touche à la grâce. C'est incroyable à dire, mais ce film prend une certaine épaisseur sur la fin, par la beauté du rire et la fin presque lyrique. On rit énormément, c'est évident. Mais on est aussi touché, ému. Est-ce le décor ? Sud de la France pour le côté soleil et Nazis omniprésents pour le coté sombre. Est-ce le message ? Est-ce l'envie d'aimer ce film aux couleurs dorées ? On est impressionné par un tel talent. A en voir ses films précédents et suivants, c'est LE film de sa vie, un film comme on en fait qu'un, un joyau... On ne devrait jamais faire de critique de film après avoir fumé la moquette !

Zontar, la chose de Vénus
Un film de  Larry Buchanan (1966)
C’est agréable de voir des gens habillés propres partout, pas de la racaille de nos jours partout. Ça c'est de la critique de film !

Le dollar troué
Un film de Georgio Ferroni (1965) avec Giuliano Gemma.
C'est un film extraordinaire qui nous décrie la vie difficile des cow-boys et des contres bandes qui volent les vaches et tuent les humains  On ne devrait jamais faire de critique de film quand on a dormi la moitié du temps

Lawrence d'Arabie  
Un film de David Lean (1962) avec Peter O'Toole, Alec Guiness, Anthony Quinn, Omar Sharif.
- Un opéra pour chameaux aussi sec que le désert ! Du cinéma vieillot, académique et tellement british...
- LE désert ! Ce décor principal du film est le seul bon point du film à mes yeux, car un désert c'est joli je trouve...
 

Les oiseaux
Un film d'Alfred Hitchcock (1963
Ce film donne une migraine incroyable, à cause de tous ces piafs qui braillent dans tous les sens.

En Légitime défense
Un film d'André Berthomieu (1958) avec Bernard Blier, Pierre Mondy, Maria Vauban, Jean Lefebvre
Beaucoup de beau monde pour un film de série destiné à remplir les cinémas..... Ben oui, les films c'est fait pour les gens aillent les voir, non ?

Notre-Dame de Paris
Un film de Jean Delannoy (1956) avec Anthony Quinn, Gina Lollobrigida, Robert Hirsch, Alain Cuny, Jean Tissier, Philippe Clay
Un classique des années 50 peut être, mais qui n’a rien à voir avec le film de Disney, à ne pas savoir qu’elle histoire est vrai entre lui, Disney et toutes les autres versions. T'as qu'à lire Victor Hugo, mon bonhomme !
 

Niagara
Un film d'Henri Hathaway (1953) avec Marilyn Monroe et Joseph Cotten
Comment ne pas trouver en effet symbole dans ce parfait éventail de ces multiples - et variés - échantillons sinon bien représentations de toute façon & d’une part ; bien ces couples tueurs de liberté & cons du dimanche définitifs beaux partisans - et d’autre part si oublieux de ce bien être dominical… - de ces fameuses forces noires ayant en effet repris le contrôle depuis ce fameux 9/08 /1952 ?. Cette critique surréaliste été publiée sur Allo-ciné... quant à savoir ce qui s'est passé le 9/8/52 ? Mystère et cachet d'aspirine !

Fenêtre sur cour
Un film d'Alfred Hitchcock (1954) avec James Stewart et Grace Kelly
"Je trouve que c'est assez malsain d'espionner ses voisin toute la journée (et même la nuit )."

L'aventure de Madame Muir
Un film de Joseph Mankiewicz (1947) avec Gene Tierney, Rex Harrisson, George Sanders.
"L'idée de départ est bonne mais le film s'essouffle et devient peu crédible parfois risible." Peu crédible ? Ça veut dire que le mec il n'a même pas compris qu'il regardait un film fantastique !

Antoine et Antoinette 

Un film de Jacques Becker (1947).

"Un prolétaire sans aucune conscience de classe qui ne pense qu'à s'enrichir en jouant à la loterie. Réactionnaire, abêtissant  et répugnant." D'abord c'est pas lui qui joue à la loterie, c'est sa femme !

Le Grand sommeil   

Un film d'Howard Hawks (1946) avec Humphrey Bogart et Lauren Bacall
Incompréhensible ! Comment peut-on oser qualifier d'incompréhensible un tel chef d'œuvre ? La démonstration est éclatante, n'est-ce pas ?

Alexandre Nevski 
Un film de Sergei Eisenstein (1938) avec Nikolaï Tcherkassov.
"C'est mal réalisé, mal joué, long. La fameuse bataille sur la glace jongle entre le grandiose et le ridicule (des combats en vitesse accélérée,on se croirait dans Benny Hill)". Oui, bon, tous les goûts sont dans la nature n'est ce pas ?

Le chant du Danube
Un film d'Alfred Hitchcok (1934)

Je n'ai pas du tout aimé ce film, car il n'y a aucun mort,

Topaze
Un film de Louis Gasnier (1932)
Un bon film malgré qu'il ressemble plutôt à un film d'avant-guerre

L'arroseur arrosé  
Un film de Louis Lumière (1895)
Nul, ça m'a pas fait rire. C'est parce que des gens ont ri a l'époque qu'on a eu vidéo gag aujourd'hui. Ils devraient arrêter le cinéma ces "frères lumières" ils sont pas fait pour ça !

2 ) Le coin des rigolos

Les trois mousquetaires - D'Artagnan

Un film de Martin Bourboulon (2023)
C'était pas la peine d'inventer le technicolor pour nous proposer en 2023 un film en noir et marron !

Infinite Storm
Un film de Malgorzata Szumowska (2022)
Le film est plat malgré le fait que ça se passe en montagne

Invisible Man
Un film de Leigh Whannell (2020) avec Elisabeth Moss.
Pourquoi avoir choisi une actrice dont même un moine abstinent depuis sa naissance ne voudrait pas ?
Balle perdue

Un film de Guillaume Pierret (2020)
Un film de voitures qui tient la route
 

Ad Astra
Un film de James Gray (2019)
Quelques fusées décollent, le film jamais
une autre
Un gars qui après s’être fait attaquer par des pirates lunaires et un singe fou de laboratoire, est obligé de passer par les égouts de Mars pour forcer une trappe de fusée en train de décoller, tuer tout le monde, tout ça pour larguer papa dans l’espace et revenir avec un bouclier bricolé dans un champs d’astéroïdes, et qui nous dit au final "c’est l’amour qui nous sauvera tous"

The lighthouse

Un film de Robert Eggers (2019)
Je me trompe ou c'est le remake horrifique et arty de La Soupe aux choux ?
une autre
J'ai rien compris mais c'était vachement bien

Le mystère Henri Pick
Un film de Remi Bezançon (2019)
L'intrigue n'est pas intrigante

Crawl
Un film de Alexandre Aja (2019)
Un film de requins mais avec des crocodiles !

Bright
Un film de David Ayer (2017)
"Seul un Bright peut maîtriser une baguette."
(au moins pour la version X du film, il n'y aura qu'une lettre à rajouter...

Sand Castle

Un film de Fernando Coimbra 2017
Les uniformes sont incorrects car il n'y a pas de grade sur les casquettes

Avant d'aller dormir
Un film de Rowan Joffe (2014)
Ce n'est pas la peine d'aller le voir AVANT d'aller dormir puisqu'on peut -sans problème - dormir PENDANT.

Godzillla
Un film de Gareth Edwards (2014) 
"C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis"

Prometheus
Un film de Ridley Scott (2012)
Le constat est dur : Trente-trois ans plus tard, Ride Biscotte nous propose un cours de métaphysique pour les nuls."

The Dark Knight Rises
Un film de Christopher Nolan (2012)
Plus de 2 heures 30 avant de voir Marion Cotillard mourir, c'est trop.

Il reste du jambon ?
Un film d'Anne Depetrini (2010) 
Je m'attendais à un documentaire gastronomique, mais je suis tombé sur un film avec Ramzy et il m'aura fallu une bonne heure avant de voir de la charcuterie

Le prestige
Un film de Christopher Nolan (2006)
Je me suis tellement ennuyée devant ce film que j'ai sorti un jeu de cartes pour me faire des tours à moi-même. Au moins j'étais dans l'ambiance me direz-vous.

La Guerre des mondes

Un film de Steven Spielberg (2005)
C'est l'histoire d'une petite fille qui crie....

Batman begins
Un film de Christopher Nolan (2005)
Faire très compliqué et manquer totalement d'imagination, c'est tout le paradoxe de Nolan.  (Je n'aurais pas dit mieux !)

La passion du Christ
Un film de Mel Gibson (2004)
Ce con de Gibson a foutu du fil de fer barbelé sur la tête du Christ à la place d'une couronne d'épine. Or le fil de fer barbelé a été inventé par les américains en 1889.

Les bouchers verts
Un film de Anders Thomas Jensen (2004)
L'originalité du sujet traité ici est indiscutable et nous invite à nous interroger sérieusement sur le contenu de nos assiettes.

Eyes Wide Shut 

Un film de Stanley Kubrick (1999).
 "Stanley Kubrick n'a jamais mis les pieds dans une partouze, moi si". (Cleude Lelouch)

La Ligne rouge

Un film de Terrence Malick (1998)
J'ai lu sur Wikipédia que Malick était supporter du Paris St Germain ! Comment alors faire confiance à ce gars là !

Un film de Roland Emmerich (1998).
Gode Zilla" avais-je cru lire, m'imaginant qu'il s'agissait d'un film sur les sex-toys et leur utilisation. Imaginez ma déception !

American History X
Un film de Tony Kaye (1998)
Imaginerait-on Hitler en 1939 plier du linge avec un Juif, faire une bonne blague et du coup abandonner son idéologie et adhérer à Greenpeace ? 

Seven
Un film de David Fincher (1995)
Le titre est trompeur car autant le savoir, le film n'a pas été tourné dans les Cévennes !

Chasse à l'homme
Un film de John Woo (1993)
Impossible de se concentrer sur les scènes d'action avec un personnage qui a des cheveux aussi gras..

Cyrano de Bergerac
Un film de Jean-Paul Rappeneau  (1990)
Au secours ! 3 heures de rimes et de vers, Y'a d'quoi choper le vers solitaire...

Arrête ou ma mère va tirer 
In film de Roger Spottiswoode (1992) avec Sylvester Stallone, Estelle Getty
Ils auraient du mettre Schwarzenegger dans le rôle de la mère de Stallone, ça aurait été plus drôle

Jean de Florette
Un film de Claude Berri (1986)
C'est un film écologique sur l'eau, sur la rareté de l'eau. L'eau, notre bien le plus précieux

La Mouche
Un film de David Croneberg (1986)
Un film qui fait mouche

Cocoon
Un film de Ron Howard (1985)
Version anglaise de la soupe aux choux.
Un dimanche à la campagne
Un film de Bertrand Tavernier (1984)
Heureusement qu'il n'a pas plu !.

Un film de Claude Berri (1983)
Pourquoi Pantin puisque le film se passe à Paris ? En fait le P majuscule de Pantin peut prêter à confusion. Mais le titre ne fait pas allusion à la ville de Pantin. Ici pantin à le sens de "guignol"

Un film de Steven Spielberg, (1981) avec Harrison Ford et Karen Allen
- Les aventures d'Indiana Jones ne me procure absolument aucun effet, aucune stimulation nerveuse, aucun élément de mon être susceptible de me faire ressentir de l'émotion.
- Essaie l'acide !
une autre
- Et au final, on nous pond comme méchant des nazis et comme sauveur un Américain (pour bien nous rappeler qu'ils sont les sauveurs de l'humanité)
- T'aurais préféré le contraire ?

une autre
-Les film est trop spielbergien
- Spielbergien, en effet. Si vous vouliez du bressonien, fallait regarder un film de Robert Bresson.

5) Quand Wikipedia écrit n'importe quoi
comme d'habitude

Madame Edouard  

Un film de Nadine Monfils (2004)

"Derrière la comédie et le pastiche des séries policières, l’omniprésence du fantôme de René Magritte et le dénouement amène le spectateur à une réflexion sur le rôle de l’art face à la mort." Ou l'art de chercher des messages cachés dans ce qui n'est qu'une (excellente) galerie de portraits.

Mars Attacks
Un film de Tim Burton (1996) 
"Le film est une parodie de petits romans et de films du genre science-fiction des années 1950, principalement de "Independence Day" et de la "Guerre des Mondes",de H.G Wells" (Non seulement Mars Attack ne parodie pas "Independance Day" mais les deux films sont sortis la même année !)

Le jour des morts vivants
Un film de George A. Romero (1985)

"Il est intéressant que, en pleine époque de la guerre froide, Romero ne donne la préférence à aucune des deux factions en présence. Les idées et points de vue des deux camps sont aussi bonnes (et mauvaises) l’une que l’autre." (Où ce commentateur a-t-il vu que ce film évoquerait la guerre froide ? N'importe quoi !"

2001: l'odyssée de l'espace
Un film de Stanley Kubrick (1968)

"Ce film se décèle dans le domaine de l’abstraction, de l’esthétique, et du symbolisme". C'est cela, oui...,.

6) Quand les critiques pètent un câble

Ad Astra
Un film de James Gray (2019)
"Cette mise en espace dilate, agrandit, amplifie le nœud œdipien ; et en même temps, elle le dépouille, l’épure. Sur fond de grand monochrome noir constellé de faibles lueurs d’argent, le scénario grayen n’a jamais été aussi nu, linéaire, limpide, à l’os. "(Jean-Marc Lalanne - Les Inrockuptibles) Puisqu'il le dit...

Scary Stories
Un film de André Øvredal (2019)
"Scary Stories" est une déclaration d'amour au pouvoir des mots, aux élans de l'imagination et aux amitiés qui les soudent. Simon Riaux (Ecran Large) C'est cela, oui...,.

Diamant noir
Un film d'Arthur Harari (2016)
Dense, compact, suffocant même, Diamant noir est le film d’un mouvement proliférant, ne cessant de glisser d’un genre à un autre, d’une perception à une autre, de complexifier ses figures, de multiplier les échos, de doubler ses représentations d’un fond ambigu ou pervers. (Florence Maillard, Cahiers du Cinéma). Ben voyons...

Gravity
Un film d'Alfonso Cuaron (2013) 
[le film] n'atteint ni la perfection géométrique, l'hermétisme sublime de "2001 : l'Odyssée de l'espace", de Stanley Kubrick, ni le spiritualisme, la lancinante métaphysique de "Solaris", d'Andrei Tarkovski. Rapporté à ces deux références, le scénario de "Gravity" est minuscule.(Louis Guichard, Télérama). C'est quoi cette manie de vouloir à tout prix comparer ce qui n'a rien de comparable ? Signalons donc à ce Monsieur Guichard que ce film n'a non plus rien à voir ni avec les "Tontons flingueurs" ni avec "Il était une fois dans l'Ouest"... Et puis c'est quoi "la perfection géométrique" et," l'hermétisme sublime" de 2001 ?

Argo
Un film de Ben Affleck (2012)
Reconstitution d’un épisode mineur de l’histoire américaine : l’évasion de six employés de l’ambassade des États-Unis en Iran lors de la prise d’otages de 1979. Ben Affleck y minimise le potentiel farcesque au profit du suspense. Une vision négative de l’Iran qui, par les temps qui courent, sent presque la provocation. (Vincent Ostria, l'Humanité). Sans commentaires !

La Dernière Maison sur la Gauche
Un film de Denis Iliadis produit par Wes Craven (2009)
Plus que jamais le cinéma d'horreur contemporain se confond avec une représentation symbolique de la brutalité du libéralisme économique et sa promesse de satisfaction des désirs et des fantasmes les plus extrêmes.( Jean-François Rauger Le Monde) Où l'art de trouver des messages là où il n'y en a pas !

A bord du Darjeeling Limited
Un film de Wes Anderson (2008)
De l'inachèvement des êtres à leur désir d'éducation: un film de voyage en soi-même, loin de la marche du monde et des contingences de l'âge adulte. Axelle Ropert (Les Inrockuptibles) Charabia, quand tu nous tiens...

Daredevil
Un film de Mark Steven Johnson  (2003)
Produit du temps, Daredevil n'éblouit brièvement que par sa lumineuse cécité. (Patrice Blouin les cahiers du Cinéma)
Cette farandole de cabrioles et autres castagnes acrobatiques se laisse voir mais n'apporte pas de vraie surprise, sinon une séquence de pure poésie que n'aurait pas renié Paul Eluard lui-même. (Pierre Vavasseur Le Parisien) Et elle est cachée où cette séquence ?

Salo ou les 120 journées de Sodome  
Un film de Pier Paolo Pasolini (1976)
"Dans la violence atrocement civilisée de ses scénographies scatologiques et macabres, dans l'insoutenable matérialité, viscéralité, animalité, des rapports qu'il arpège, une lueur sublime sourd. C'est tout" (le Monde). (quand on ne sait pas quoi dire on aligne des mots.. ça fait chic !

Quelque part dans la nuit
Un film de Joseph L. Mankiewicz (1946).  
Si "Quelque part dans la nuit" est un rejeton mineur de sa filmographie, il témoigne néanmoins de la complétude d’un cinéma qui n’oscille pas entre deux genres ou deux entités mais les allie, les encastre, jusqu’à ce qu’une image prenne forme et devienne la parfaite synthèse de la multitude narrative qui parcoure le film. Ariane Beauvillard.  Conseillons à l'auteur de cette critique de relire Boileau qui disait "Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément."

Le Grand sommeil   

Un film d'Howard Hawks (1946) avec Humphrey Bogart et Lauren Bacall
Le grand sommeil" est un film à la fois daté et éternel parce que la vie qui palpite à l'intérieur de chaque image ne mourra jamais. (Télérama, 14/10/81) Un décodeur s'il vous plait ?

La chevauché fantastique
Un film de John Ford (1939)
Ford est revenu à la forme ancienne, au muet, mais à un muet qui contient toute la richesse des autres expériences, y compris de la bande son (Antonioni)

Pitfall
Un film d'André de Toth (1948) avec Dick Powell, Lizabeth Scott
L’abîme du titre, impitoyablement moral, s’étend horizontalement plutôt que verticalement  Fernando F. Croce critique américain

A 14 millions de lieues de la Terre (le vaisseau dans le ciel)

Un film danois de Holger-Madsen  (1918)

Une société utopique, un film à message, un film végan ! Quelle modernité ! (Cine-SF4)

7) Quand les critiques font dans la complaisance
sans avoir vu le film

Lady Chatterley
Un film de Pascale Ferran (2006)
"Orfèvrerie du découpage, majesté des durées, incandescence des émotions: un film magnifique et fiévreux". Serge Kaganski  "les Inrockuptibles"
C'est quoi le majesté des durées ? Et puis c'est pas parce que le film est bon qu'il faut écrire n'importe quoi !

En face
Un film de Mathias Ledoux (2000)
"Une atmosphère digne de Shining, un suspense maîtrisé, un scénario consistant, ce thriller est redoutablement efficace." Tout est faux dans cette phrase, je défie quiconque de pouvoir écrire des chose pareilles en ayant vu le film !

Merci pour le chocolat  
Un film de Claude Chabrol (2000)
"Même si ce film n'est assurément pas un des meilleurs de Chabrol, il est plus qu'agréable à regarder, grâce à la mise en scène simple (...), et surtout grâce aux performances des acteurs." Stéphanie Thonnet (Cplanet.com).
On peut raconter tout ce qu'on veut sur ce film, après tout ce n'est qu'une affaire de goût, mais parler de la performance des acteurs alors qu'à part Huppert ils jouent comme des patates, c'est se foutre du monde !

La cérémonie
Un film de Claude Chabrol (1995)
Et, donc, avec la perversité qu'on lui connaît et cette sorte d'élégance implacable qu'il atteint, parfois, Chabrol va faire de cette danse de mort une "cérémonie" funèbre. Un suspense de classe. (Pierre Murat, Télérama)
C'est en effet d'une rare élégance que de transformer des carabines à deux coups en fusils à répétition !

8) Quand les critiques usent de formules assassines

servies en kit et recyclables à volonté

Interstellar
Un film de Christopher Nolan (2014)
Tout est génial dans ce film, sauf la réalisation, le scénario, les effets spéciaux, la musique et la direction d'acteurs.

Inception
Un film de Christopher Nolan (2010)

Un film qui, loin d'être intelligent, n'est que l'idée que se fait un imbécile d'un film intelligent (Will Self)

Le Jour où la Terre s'arrêta

Un film de Scott Derrickson (2008) :

Si les effets spéciaux sont d'un bon niveau, le plus étonnant d'entre eux est Keanu Reeves encore moins expressif que son robot.

Le jour et la nuit
Un film de Bernard Henri Levy (1996)

Je suis allé à la séance de 18 h, deux heures plus tard, j'ai regardé ma montre : il était 18 h 20 !

9) Quand les critiques se plantent

Very Bad Things  
Un film de Peter Berg (1998)
Ce discours sur la pourriture de la classe moyenne américaine est évidemment un trompe-l'œil pour ce film médiocre qui compense son absence d'idées par une accumulation d'effets gore. (Samuel Blumenfeld, Le Monde)

Complot de famille
Un film d'Alfred Hitchcock (1976)
Comme toutes les oeuvres tardives du maître, c'est un film âpre, peu sympathique et au final angoissant (Les Inrockuptibles, Jean-Baptiste Morain)  On le droit de tout dire sur un film encore faut-il l'avoir vu !  Dire que le film n'est pas sympathique est gonflé mais peut à la limite s'admettre, mais dire que le final est angoissant, il a été cherché ça où ?

Les Tontons Flingueurs
Un film de Georges Lautner (1963)
"Vous pavoisez haut mais vous visez bas" (Henri Chapier dans "Combat")
"Quand on voit les tontons flingueurs on se rend compte de la dégradation du comique cinématographique. (Le Monde)

Blade Runner
Un film de Ridley Scott (1982)
" Philippe Manœuvre est allé voir deux fois l’ignoble pensum que Hollywood, ou Ridley Scott, ou les deux, présentent comme Philip K. Dick au cinéma. Son verdict est ferme et sans nuance : bande de salauds ! " (Philippe Manœuvre dans "Métal Hurlant") !

10) Quand les illuminés font de la critique de cinéma...

Tunnel
Un film sud-coréen de Kim Seong-hoon (2016)
Le tunnel est un symbole freudien, la voiture qui entre dans le tunnel : on a compris… il n'y arrive pas, c'est donc un film sur l'impuissance…"
 

World Z War
Un film de Marc Forster (2013)
Bref c’est un film pour vous faire accepter le fait que les vaccins permettent d’en sauver quelques uns alors que des centaines de milliers mourront. (sur neptunya.fr, un site "bio")
Dans ce film, on tente évidemment de préparer l'opinion publique à une vaccination massive et profilée comme "salvatrice", tout en faisant passer pour respectables et utiles des institutions comme l'ONU ou l'OMS... Il s'agit donc clairement d'un film qui essaie de blanchir la gestion calamiteuse du H1N1 par l'OMS tout en essayant de redorer l'image des vaccins. Il s'agit donc d'un film politique commandité par ceux qui trouvent leurs casseroles trop lourdes à traîner dans la perspective des prochaines pandémies tant attendues... Evidemment, les gens incultes ou crédules n'y verront que du feu. (sur alterinfo.net, site qui défend les thèses conspirationnistes du 11 septembre=

Alien

Un film de Ridley Scott (1979) avec Sigourney Weaver

Mais il y a également une véritable dimension politique dans la saga Alien : les personnages principaux sont des ouvriers, des petites mains, de la chair à canon... C'est la revanche des prolétaires de l'espace contre une grande compagnie qui pense que leur vie ne vaut rien. Merci de nous expliquer qu'il s'agissait d'un film sur lla lutte des classes, moi qui croyait que c'était de la SH et de l'épouvante !
Une autre

Alien est un grand film féministe ! C'est bien connu tous les films dont l'héroïne est une femme sont des films féministes; et tous les autres sont des films machos. Il y a des gens qui raisonnent comme ça et en plus ils écrivent !

La Mélodie du bonheur
Un film de Robert Wise (1965)  avec Julie Andrew
"Cette œuvre est virtuellement pornographique" Cette idiotie date du 7/11/97, et c'est signé Richard Williamson, l'un des pires intégristes catholiques qui puisse exister !

11) Les Prix Louis Delluc

Cette institution semble spécialisée dans la promotion de films ratés ou insipides, notons par exemple : (les notes n'engagent que moi, mais j'assume !)
 

L'immortelle (Alain Robbe-Grillet, 1963) 
Benjamin ou les mémoires d'un puceau (Michel Deville,  1968)
Le Genou de Claire (Eric Rohmer, 1970)
Merci pour le chocolat (Claude Chabrol, 2000)
Les Adieux à la reine (Benoît Jacquot, 2012)
Comme un avion (Bruno Podalydès - 2015)   
Nocturama (Bertrand Bonello - 2016)
Diamant noir (Arthur Harari 2016) (prix du premier film)
Mademoiselle de Joncquières (Emmanuel Mouret - 2018)

12) Petits conseils aux critiques amateurs :

Ne dites pas : "les acteurs ne savent pas jouer" mais : "la direction d'acteurs est discrète."
Ne dites pas :  "on n'y comprend rien" mais : "ce film réclame un public attentif et exigeant." ou "ce film fait appel à l'intelligence du spectateur" (façon détournée de prendre ceux qui avouent n'avoir rien compris pour de parfaits imbéciles) ou encore dire d'un ton péremptoire que l'histoire n'est pas ce qu'il y a de plus important dans le film (exemple, le Grand Sommeil, Mullholand drive.) une autre variante : "Toute la force du film réside dans l'absence de mobile ou d'explication"
Ne dites pas : "ce film est complètement fauché", mais : "Quelle subtile économie de moyens !"
Ne dites pas : "ce film possède des longueurs interminables", mais : "le réalisateur prend son temps." ou "le film nous fait ressentir le sentiment de la durée" ou "c'est un film contemplatif" ou encore une belle version pince à sucre : "La réalisation ménage des moments contemplatifs propices à l'expression des sentiments"
Ne dites pas : "ce film manque d'imagination," mais : "le réalisateur a pris le parti du dépouillement scénaristique"
Ne dites pas : "le réalisateur ne s'est  pas trop foulé" mais : "ce film est la preuve que génie peut rimer avec simplicité" ou "la mise en scène est sobre et ne s'autorise aucun effet de style inutile." ou encore "Le réalisateur sait montrer une grande retenue dans sa mise en scène"
Ne dites pas : "il ne se passe pas grand chose" mais : "c'est un film apaisé"
Ne dites pas : "la fin est incompréhensible" mais : "l'auteur laisse au spectateur le soin de choisir la fin qu'il croit être la bonne"
Ne dites pas : "ce n'est pas du cinéma" mais quelque chose comme : "J'ai eu la désagréable impression de regarder un téléfilm très médiocre pendant un dimanche après midi pluvieux" (l'appellation "téléfilm" est le pire qualificatif que l'on peut donner à un film... surtout quand on est de mauvaise foi !)
Ne dites pas : "ce film ne passionne pas" mais "tout est dans la bande annonce"
Ne dites pas : "Ils ne se sont pas foulés pour les décors et les costumes... mais "La mise en scène est épurée" (un cas de figure assez courant dans l'Opéra)
Ne dites pas : "j'aurais mieux fait d'aller voir autre chose" mais faites dans le tragique : "j'ai perdu deux heures de ma vie !" ou dans le péremptoire :"La vision de ce film est dispensable"
Ne dites pas : "Je trouve ça très mauvais" mais "Je viens de voir le pire film de ma vie !" (Si vous avez déjà employé cette formule à propos d'un autre film, ce n'est pas grave, on peut très bien voir le pire film de sa vie toutes les semaines...
Quand un film est en noir et blanc, il convient de dire que c'est un magnifique noir et blanc… même si ce n'est pas vrai
Si les acteurs sont bons mais que vous voulez descendre le film, choisissez une des formules classiques :
- Georges Clooney n'est pas crédible dans ce rôle (ou cachetonne sans conviction, ou n'a pas l'air concerné)
- Georges Clooney surjoue de façon éhontée
- Georges Clooney à l'air de s'ennuyer (grand classique)
- Georges Clooney se contente de faire du Georges Clooney.
Soyez de mauvaise foi, Affirmez haut et fort : "J'avais tout compris dès les premières minutes !"
Usez de réflexions pseudo-féministes expliquant que le sexe ne vous intéresse pas ... " La présence de femmes dénudées réduites aux rôles de potiches ne saurait combler le vide abyssal de ce film..."

13) Critiques passe partout (pour briller en société)

- En acceptant d'aller voir le film je m'attendais au pire. 90 minutes plus tard en sortant, j'étais heureux car le pire était désormais derrière moi !

14) Petits florilège de réflexions génériques

- Si le film avait été mieux, j'aurais fait une meilleure critique.

- A voir pour tout bon cinéphile qui se respecte ! (c'est quoi un bon cinéphile qui se respecte ?)

- A voir pour se faire une idée (l'art de ne rendre aucun risque tout en ne disant rien)

- Ce film fait partie de la culture cinématographique. Vous devez l'avoir vu. Surtout si vous ne savez pas de quoi ça cause. (plus péremptoire, tu meurs !)

- Ce film a vieilli...  ou La réalisation est veillotte : (Valable pour tous les films datant de plus de 20 ans . Un film a donc une date de péremption et se doit d'être jeune ! On se demande ce que disent ces personnes en sortant d'un musée ? Mais y vont-ils ?)

- Ça pique les yeux ! (Ça ne veut rien dire mais ça veut essayer de faire croire qu'on a écrit quelque chose d'intelligent !)
- J'ai perdu deux heures de ma vie ! (Quelle horreur !)

- Difficile de faire un film de science-fiction sans citer "2001" (Et pourquoi donc ?).
- Un film qui ne plaira pas à tout le monde mais dont on ne pourra se faire un avis qu'en le regardant du début à la fin. (trop fort !)
- A voir pour ceux qui ne l'on pas vu ! (Pardon ?)
- A voir pour se faire son propre avis (sans blague ?)
- Regardez la bande annonce et lisez le synopsis vous aurez une idée du film. A vous de voir (l'art de ne pas se mouiller)
- Un film dispensable (péremptoire et concis)

- Un film qui plaira à ceux qui aiment ça  (et vive versa je suppose ?)

- C'est moins bien que le livre (ou ça ne respecte pas  le livre). (ils me font marrer tous ces critiques, qui non seulement ont lu tous les ouvrages dont s'inspirent les films, mais qui en plus en ont une mémoire d'une précision exemplaire ! )

- Ça ne respecte pas la vérité historique. (Qu'on le signale, pourquoi pas ? Mais ce genre de remarque ne saurait constituer une critique, une œuvre n'a nul devoir de fidélité envers quoi que ce soit, y compris la vérité historique.) (1)

- Un film avec une réalisation exceptionnelle qui se nourrit de ses défauts et incohérences. (Autrement dit on trouve ça très con, mais on aime quand même, alors il faut bien dire quelque chose !)

- C'est digne d'un téléfilm : (Attention c'est une insulte. Certes les téléfilms ont des cahiers des charges différents des films tournés pour le cinéma, mais il est stupide de rabaisser systématiquement le genre, il y a de très bons téléfilms)

- C'est digne d'une pièce de boulevard : (Attention c'est une insulte ! Je ne vois pas pourquoi les pièces de boulevard n'aurait pas le droit d'exister, ni pourquoi ce serait à priori un genre mineur. Certes le genre possède ses codes, mais tous les genres ont leur codes, (les westerns, les slashers, les péplums…) en fait ceux qui parlent avec mépris du "Boulevard" devraient assister à une pièce de Feydeau à la Comédie Française, ils changeraient peut-être d'avis.)
- Aussi intéressant qu'un épisode de l'inspecteur Derrick (ou aussi intéressant qu'un téléfilm sur M6, l'après midi) : dans le langage des critiques amateurs les références à l'inspecteur Derrick ou à M6 sont toujours infamantes ! (2)

- Ce film exige une attention soutenue de la part du spectateur que tout le monde n'est pas prêt à fournir... Autrement dit "vous êtes trop con pour comprendre le film !"

- La réalisation est académique ! Réaction passe-partout faisant croire à celui qui le lit que celui l'a écrit est un expert en technique cinématographique.  En fait ça ne veut rien dire ou plutôt ça voudrai nos dire qu'un film qui ne bénéficie pas d'un zoom de 4 minutes ou d'un plan séquence gratuit est par nature académique

15) Règle fondamentale des critiques en herbes d'Allo-ciné et autres

- Quand un film est adapté d'un roman 95 % des gens qui écrivent des critiques sur Allo-Ciné ont évidemment lu le roman. et s'en souviennent parfaitement. dans ses moindres détails. Quand un film est un remake 95 % des critiques amateurs on vu l'original et s'en souviennent parfaitement
- Il est également de bon ton de jouer les cuistres en faisant semblant de connaître sur le bout des doigts la carrière cinématographiques des principaux acteurs secondaires

16) Les dogmes inébranlables

Un critique en herbe se doit de respecter systématiquement certains auteurs, comme les "saint patrons du cinéma  (Stanley Kubrick, David Lynch, Christopher Nolan, les frèes Coen, David Fincher, John Carpenter... JP Melville... ainsi que leur films).
Un critique en herbe doit cracher systématiquement sur certains auteurs (Luc Besson, Robert Emmerich, Max Pécas, Claude Lelouch, Michael Bay; Uwe Boll...), certains acteurs ou actrices (Jennifer Lopez, Nicolas Cage, Frank Dubosc...) sur certaines sociétés de production (EuropaCorps) ... ainsi que sur leur films.
Un critique en herbe ne saurait remettre en question, même de façon très partielle un dogme établi !

17) Et pour finir : un peu de grand n'importe quoi:

"C’est aussi le moment de rappeler que l’art cinématographique n’atteint ses sommets qu’avec le noir et blanc car il ne détourne jamais l’attention du spectateur et reste constamment dans le sujet alors que la couleur nous en écarte parfois"

18) En prime : Une affiche complètement inattendu
,L'affiche américaine pour "A bout de souffle", (Jean-luc Godard 1960)

Les notes indiquées sont les miennes et non pas celles des commentateurs cités

excellent
Très bon
assez bon, pas si mal
bof...
mauvais
nul

Notes de fin de la page

(1) A l'exception toutefois des films ouvertement révisionnistes sur un sujet donné comme par exemple "La piste de Santa Fé" (Michael Curtiz 1940 avec Eroll Flynn)

(2) Si la série "Inspecteur Derrick" a si mauvaise réputation on se demande comment elle a perduré pendant 24 ans durant 281 épisodes !