Couvertures de magazines sur le thème de la prostitution
Page mise à jour le 23/02/2018

Pour la presse populaire, la prostitution doit être glauque(1), assimilée obligatoirement au milieu et/ou à la délinquance. La prostituée est toujours une victime un peu nunuche et manipulée. Cette presse, et par conséquent la pensée dominante est incapable d'imaginer une prostituée bien dans sa peau, non maquée et assurant sans arrière pensée son activité. La palme de la mauvaise foi, revenant à certaines organisations anti prostitution (qu'elles soient d'obédience catholique ou de la sphère ultra-féministe) qui n'ont jamais discuté ni avec des prostituées libres ni avec leurs clients, qui osent demander à l'Etat l'interdiction de l'activité, et qui ose clamer des slogans crapuleux comme "Payer pour du sexe c'est se rendre complice du trafic des femmes". Ces mégères n'ont jamais compris que la prostitution contrainte et la prostitution libre étaient deux choses différentes. Certes la prostitution (y compris la libre) n'est pas toujours rose et certaines heures ne sont pas forcément drôles à vivre... mais c'est un travail et c'est comme dans n'importe quelle profession !


on aurait aimé lire l'article !


Parce que initié à la prostitution par un cordonnier, ce n'est pas vendeur comme titre


il y a bien la Madone des sleeping


c'est du travail à grande échelle


Le salopard !


C'est pas bien


Comme dirait ABBA


Notes
(1)  Il en est de même pour la télévision, une productrice bien connue n'affirmait-elle pas carrément "La prostitution ne nous intéresse que quand c'est glauque"