Jayne Mansfied
Page mise à jour le 03/09/2014

1933-1967

Jayne Mansfield, née Vera Jane Palmer, élue playmate pour le magazine Playboy en février 1955, fut l'un des plus célèbres sex-symbols des années 1950.

Biographie succincte

Exhibitionniste et nymphomane affirmée (Elle eut plus de 1.500 amants selon le FBI dont le président John Kennedy qu'elle rencontra au moins 3 fois) Elle savait jouer de la provocation sans aucune vulgarité, loin des clichés stupide de la blonde idiote, Jane Mansfield était polyglotte (elle parlait cinq langues), jouait des morceaux classiques au violon et au piano et affichait un QI de 163 ! Elle avait deux seins énormes, gonflés comme des melons, placés très hauts au-dessus d'une incroyable taille de guêpe, ce qui lui donnait une silhouette fabuleuse. A chaque occasion elle montrait ses sens fabuleux, nus, ou en partie. Ses mensuration étaient 110 - 50 - 90 (ou 115 - 45 -95 selon d'autres sources). Elle était passionnée par les roses et les cœurs. Ses voitures étaient toutes roses. Elle fut la mère de cinq enfants sans que son corps en fut déformée. En 1963, elle apparut complètement nue dans Playboy et plusieurs autres fois par la suite. Jayne elle-même était folle de son corps, et elle en jouait comme une véritable artiste du nu, de l’érotisme. Elle décéda tragiquement dans un accident de voiture, décapitée par une plaque de tôle décrochée d'un camion précédant sa Buick qui quitta la route. Le choc fut si important que sa boite crânienne éclata !(1)


Le coup publicitaire de 1957

A l’occasion de la venue de Sophia Loren à Hollywood, Jayne l’attendait, tous seins dehors. Sa robe, fine, lui collait à la peau. La chair de Jayne Mansfield débordait de partout. Mais surtout son décolleté était suffoquant, coupé juste au-dessus des tétons, car bien sûr comme très souvent, Jayne ne portait pas de soutien-gorge. Mais les seins de Jayne n’étaient de ceux qui tombent. Au contraire, ils étaient gonflés à bloc, semblant vouloir jaillir vers le haut. Jayne rodait autour de Sophia et tout en s’approchant, elle tirait sur sa robe pour essayer de faire jaillir ses seins hors du décolleté. Mais son satané tour de poitrine ne laissait pas descendre la robe. Alors Jayne, impatiente, prit sa main droite, plongea dans le décolleté et souleva son sein gauche qui jaillit enfin de la robe, libre, à la vue de tous et à la grande satisfaction de Jayne qui se pencha vers Sophia avec son large sourire. Des centaines de photos furent prises ce soir-là. Sophia fut littéralement assommée par la poitrine de Jayne, qui, semblant sur prise, replaça son décolleté nonchalamment. Ce qui ne l’empêcha pas de poursuivre la soirée, assise à côté de Sophia, bombant le torse, se penchant, s’étirant en arrière, se frottant les seins pour enlever une tâche qui n’existait pas.


Sophia Loren louchant dans le décolleté de Jane Mansfield
 

Témoignage d'un admirateur

Un joli petit texte trouvé sur le net :

Elle n’est pas du genre de fille que l’on regarde dans les yeux. On peut difficilement quitter du regard ce fantastique objet de chair, cette martienne qui possède des seins si volumineux, si ronds, si parfaits. Les hommes rêvaient d’une créature parfaite, avec des gros seins fermes, une taille très mince, de très longues jambes fines, des hanches très larges, un joli minois rieur et une volonté de vouloir tout vous montrer, sans gêne… et voilà qu’apparaît Jayne Mansfield, la créature parfaite dont ils rêvaient. Elle est incroyable, mais elle existe. Elle est aberrante, mais elle est là devant vous et vous ne rêvez pas. Elle respire profondément, gonfle son indescriptible poitrine que vous ne pouvez plus quittez des yeux et vous vous demandez par quel miracle une fille est construite aussi parfaitement. Chacun de ses gestes est sensuel, provocant ; Vous cherchez une explication, il y a eu un miracle. Ou alors, il y a un défaut quelque part ou un artifice. Mais Jayne Mansfield, sans aucune gêne, se montre complètement nue et il n’y a pas de défaut, ni artifice. Et c’est la perfection. Les seins ne tombent pas, ils restent plantés très hauts, bougent comme des blocs majestueux. Jayne les palpe pour montrer qu’ils sont fermes, très fermes. La taille est une taille de guêpe et Jayne, rentre son ventre, diminuant encore cette taille si fine au-dessus d’un thorax si énorme et au-dessus d’un bassin grandiose. Jayne promène ses mains un peu partout, se caresse, se palpe, montre chaque endroit de son corps. Et les hommes sont là, qui transpirent, avec l’attirance irrésistible d’embrasser partout ce corps fantastique. Et ce n’est pas tout, Jayne, complètement dévoilée se couche sur un lit, se tourne, se retourne, s’étire devant les photographes et les journalistes qui regardent, bouche ouverte, la créature humaine, offerte entièrement devant eux et qui feraient n’importe quoi pour pouvoir posséder ce corps parfait, les formes incroyables de la si sublime Jayne Super Mansfield. Et Jayne qui sait tout de ce que pensent les hommes et qui se sent si sûre d’elle et si fière. Tellement fière qu’elle en est arrogante et encore plus belle. Elle sait qu’elle est la plus belle femme du monde, la femme la plus désirée et que tous les hommes rêvent d’avoir dans leur lit !

 

Promises ! Promises !  

Pendant le tournage des scènes nues de "Promesses, promesses !" ( Sandy Brooks 1963), Jayne avait souvent sa main droite entre ses cuisses. Le producteur s ‘approcha d’elle et lui dit : "
- Jayne, il y a un problème, on à l’impression que tu te masturbes !
Jayne lui sourit et répondit :
- Ecoute chéri, ce n’est pas une impression, je me masturbe vraiment et ce n’est pas un problème, d’accord ?
Le producteur eut un sourire gêné et lui dit que c’était OK.

Entre les scènes, Jayne se confia aux journalistes :
- C’est tellement excitant d’être nue devant tant d’hommes que non seulement je me masturbe, mais je jouis ! Vous pouvez l’écrire, j’ai jouit plusieurs fois ! A la vérité j’aimerais bien être défoncée. Je n’y peux rien, c’est plus fort que moi.
Puis elle enleva sa serviette, découvrit son pubis et déclara :
- Regardez c’est tout humide ! 

A un journaliste qui insistait, Jayne poursuivit :
- Vous avez l’air choqué. Il n’y a pas de quoi. La plus belle sensation dans la vie, c’est l’orgasme. Plus j’ai des orgasmes et plus je suis heureuse !»

 

Anecdotes 

Une fois, elle apparut pour une séance de photos dans un énorme manteau de vison et des hauts talons. Les journalistes étaient visiblement déçus. Trop habillée. Ils n’étaient pas venus pour ça. Mais Jayne Mansfield s’installa, sourit de toutes ses dents et laissa glisser son manteau. Et là, Oh merveilleuse Jayne. Elle était nue, complètement nue sous le manteau. Les journalistes retrouvèrent leur sourire et les flash crépitèrent.

Jayne Mansfield , fut citée comme principale responsable d’une cinquantaine de divorces aux Etats-Unis. Quand on lui cita ce chiffre, elle déclara. "Il est possible que ce chiffre soit exact. Pourtant j’ai donné du plaisir à bien plus d’hommes que ça. Heureusement, ils n’étaient pas tous mariés"

Une compagnie célèbre offrit 100 000 dollars à Jayne pour qu’elle couche avec un de ses collaborateurs qui devait ensuite en faire le compte rendu. Elle refusa expliquant qu'elle ne souhaitait pas de compte rendu public.

Elle passa deux nuits avec un ministre autrichien qui a payé fort cher pour s’offrir les formes de Jayne Mansfield. L'affaire s'ébruita et le ministre autrichien dû démissionner. Interrogée, Jayne répondit simplement que ce n’était pas son problème, que le gars avait eu beaucoup de plaisir avec elle… et qu’elle avait bien fait son travail, comme toujours, ajouta-t-elle !

Jayne Mansfield n'avait rien contre le sexe tarifé et ne rechignait pas de faire l'amour contre de l'argent quand on le lui proposait. Un homme d’affaires assez connu paya 100.000 dollars pour une nuit avec Jayne Mansfield. Son secrétaire lui fit remarquer que "c'était beaucoup". Jayne répliqua : "Je vaux bien cela, avec une autre femme, il aurait payé beaucoup moins !".

Souvent, à la fin de ses numéros, Jayne Mansfield recevait des propositions pour passer une nuit avec des hommes très riches... On dit qu'elle acceptait souvent. Une journaliste lui faisant remarquer qu'une telle attitude s'apparentait à de la prostitution elle répondit :"Oui, et alors ? J'y trouve mon compte, le client aussi, ce que nous faisons ne lése personne et ne ne regarde que nous." (1)

 

Citations

 

A la sortie d’un de ses divorces, où on lui avait reproché de ne pas savoir cuisiner. Jayne s’était exclamée : "Mont plat favori, c’ést les hommes, je ne vois pas pourquoi j’aurais eu besoin de cuisiner !"

"Les hommes sont ma raison de vivre. C’est effrayant de penser qu’un jour je ne pourrais plus être adorée. Je crois qu’en matière de construction, je suis une réussite parfaite. (1964)."

" Les hommes ne sont pas si forts qu’on le croit. Dès qu’ils sont dans mon lit, ils sont comme de petits enfants tout juste bons à être nourris par leur nourrice."

" Je ne peux pas m’endormir sans avoir fait l’amour. J’ai besoin d’amour tous les jours. Si je ne peux pas faire l’amour, je deviens malade. "

"Ma poitrine est mon meilleur atout. Je sais que personne au monde ne possède un tel buste. C’est pour cela que je m’en occupe comme un don de Dieu."

"En amour, je ne crois qu’à un seul principe, celui des vases communicants."


Notes :
(1) Selon certaines versions, la détail morbide de la décapitation serait une légende et aurait été "ajouté" afin de pimenter la comparaison avec la reine Marie-Antoinette (même tour de poitrine et même mort tragique !)

(2) On raconte aussi qu'au cours d'une nuit mémorable elle aurait couché avec une équipe entière de football américain (une équipe de football américain c'est onze hommes sur le terrain, mais il y a aussi les remplaçants et leur nombre n'est pas limité !).. La chose en soi n'a rien d'impossible, mais comme nous n'avons aucune preuve... Il est de toute façon "classique" dans les biographies imaginaires des femmes "chaudes" de citer à un moment ou à un autre des partouzes de ce genre ! On a bien écrit qu'Edith Piaf avait passé une nuit avec les 9 compagnons de la chanson ! (C'est le syndrome de Blanche Neige et des sept nains !)